On ne s'embête pas
Datte: 30/04/2021,
Catégories:
fh,
ffh,
jeunes,
copains,
école,
voyage,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Masturbation
jeu,
Auteur: Quatre-vents, Source: Revebebe
... se serre contre moi. Je manque de défaillir tant la sensation est touchante. C’est presque comme si j’étais amoureux d’elle, ma parole… Elle m’embrasse sur la joue et ses lèvres se glissent à mon oreille.
— S’il te plaît… euh… je veux dire…
J’ai un doute soudain. Et si Sophie la petite ingénue était réellement… « inexpérimentée » ? Je lui pose directement et doucement la question.
— Sophie, tu es vierge ?
Réaction immédiate. Elle me serre encore plus fort.
— Oui… mais…
Ah. Ces deux mots en disent très long. Je l’embrasse sur le bout du nez et la regarde longuement droit dans les yeux. J’y vois une certaine peur, mais une détermination farouche d’aller jusqu’au bout. J’ai toujours dit que cette fille avait du cran.
— Mais… ? je l’encourage.
— Mais j’aimerais quand même… être gentille avec toi, elle me dit doucement.
Mon cœur crépite comme un compteur Geyger dans ma poitrine. Mon émotionnomètre vient de péter un câble. Je fais un petit topo de la situation avec moi-même, et j’en viens à la conclusion que je suis un type qui sait reconnaître une chose sérieuse quand il en voit une. Et ceci, c’est une chose on ne peut plus sérieuse. Je pose ma main sur sa joue, et lui fais un sourire apaisant.
— Ne t’inquiète pas, que je lui dis. On va prendre notre temps.
— Qu’est-ce qui se passe ? s’enquiert Marie, un peu étonnée de mon ton un peu grave.
Je l’avais presque oubliée, celle-là. Je réfléchis et me dis qu’il faut mettre un peu d’ordre à cette ...
... situation un peu bordélique, au sens propre du terme. Je parcours la pièce d’un regard circulaire. Jessica ronfle silencieusement sur son lit, Greg et Aurélie sont endormis l’un sur - et dans, semble-t-il - l’autre, Marie est encore couchée de tout son long sur la table, et moi, je tiens toujours Sophie dans mes bras. Procédons avec méthode, que je me dis.
— Sophie… je veux qu’on ait tout notre temps, d’accord ? Mais il faut que Miss Mary en ait aussi pour son argent. OK ?
Elle rit et déclare qu’il n’y a aucun problème.
— Mais de quoi est-ce que vous parlez ? s’énerve Marie.
Je retourne vers elle, je la prends dans mes bras, la soulève comme si elle ne pesait rien (et pourtant, elle n’est pas si mince que ça…) et je la dépose sur mon lit. Elle s’apprête à répéter sa question, mais mes lèvres et ma langue l’en empêchent… et bientôt, je suis à peu près certain qu’elle a oublié ce qu’elle voulait me demander. Ou plutôt, elle a de nouvelles requêtes à formuler.
Maintenant, je me laisse faire. Mon pull, ma chemise, mon jean et bientôt mon caleçon volent à l’autre bout de la pièce, juste au pied du lit superposé de Sophie et Jessica. Sophie, elle, a grimpé sur son propre lit, s’est glissée entre ses draps et ne perd pas une miette de ce qui se passe sur mon lit à moi.
Ce qu’elle fait est très classique, mais diablement salvateur, car je commençais à avoir mal à force de bander sans qu’on s’occupe de moi… Marie me rend la politesse, ou plutôt les politesses. Elle prend mon ...