1. On ne s'embête pas


    Datte: 30/04/2021, Catégories: fh, ffh, jeunes, copains, école, voyage, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Masturbation jeu, Auteur: Quatre-vents, Source: Revebebe

    ... ça. Je passe ma main droite dans sa nuque, tandis que ma main gauche décrit une longue courbe sur son corps. De son épaule à son sein droit, de son sein droit à son cœur, de son cœur à son nombril, de son nombril à sa hanche, de sa hanche à sa cuisse… un frisson la parcourt. Ma main repasse dans son dos, glisse sous elle, redescend vers sa fesse, puis la contourne pour passer vers l’intérieur de la cuisse. Le contact lui donne un nouveau frisson, bien plus intense, qui lui fait replier les jambes…
    
    Mes lèvres quittent les siennes, et je baise méthodiquement sa gorge (nouvelle réaction positive, elle est clairement chatouilleuse à cet endroit) puis ses seins, puis son ventre… j’enlève en un tour de main son string, pour embrasser enfin sa douce toison. Au moment de déposer mes lèvres sur son sexe tout trempé, j’attends un petit instant et souffle délicatement. Éclat de rire de Marie.
    
    — Allez… s’il te plaît…
    
    J’y goûte enfin. Douceur des douceurs, mes enfants. Un goût et un parfum suave et presque sucré, que j’aurais envie de boire jusqu’à plus soif. Je sens au bout de mes lèvres et autour de mon cou l’intensité de son plaisir… ses jambes m’enserrent, ses mains, qui jusqu’alors lui servaient à garder son équilibre et à se caresser les seins, viennent appuyer sur ma tête…
    
    Je me redresse doucement, mes mains empoignent les lobes fermes de ses fesses, et je l’embrasse avec tout le soin qu’on m’a appris à mettre dans cette intéressante opération. Insensiblement, ma main ...
    ... droite lâche sa fesse, glisse sur sa jambe, s’insinue entre ses cuisses, et… je décide de monter le son.
    
    Mon index et mon médius glissent en elle avec une facilité déconcertante. Marie rejette brusquement la tête en arrière, et pousse un cri qui n’a rien de chiqué. Je donne une impulsion savante avec la main, et le cri redouble d’intensité. Cette fois-ci, je ne m’arrêterai pas. Mes doigts frétillent de plus en plus vite et avec de plus en plus d’amplitude en elle, et j’ai l’impression de faire un solo guitare en jouant sur les cordes internes de Marie. L’analogie m’arrache un petit rire, que j’étouffe sur le téton de Marie, cette fleur rouge qui m’effleurait la joue. Je goûte. Je suce. Je mordille gentiment… Crescendo, raidissement complet de son corps, cascade chaude sur ma main droite… Elle vient de monter au septième ciel. Il lui faut vingt secondes pour s’en remettre. Je me relève avec le sentiment du devoir accompli. Elle me sourit.
    
    — Whaou… Ça faisait longtemps.
    — À ton service, que je fais, en m’inclinant respectueusement.
    
    Elle se marre, et Sophie rit également. Marie et moi tournons les yeux vers elle. Elle a encore la main entre les cuisses. Même si elle continue à sourire, elle ne peut s’empêcher de rougir encore une fois jusqu’aux oreilles. Je contourne Marie (en passant délicatement mes doigts trempés sur ses lèvres et sur son visage) et je me penche sur elle, qui est toujours assise.
    
    — Et pour mademoiselle, ce sera ?…
    
    Elle me prend dans ses bras et ...
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