Sophie à l'EHPAD (3) - Histoires de Sexe

Sophie à l'EHPAD (3)

... arriva sur mon short et me malaxa la chatte.

Une tache d’humidité apparut très vite à mon entrejambe. Un de ses doigts s’était couché entre mes lèvres, montait et descendait, frottant l’intérieur de ma fente qui s’ouvrait de plus en plus sous le tissu éponge de mon short. Je sentais mon clitoris sortir.

— Elle mouille grave la petite !

Mon short ne fit pas long feu et c’est Josiane qui me sortit les pieds du vêtement. Le géant m’écarta les cuisses au maximum, Maîtresse et Josiane avaient une vue profonde de mon vagin écarquillé et sur mon clitoris bandé.

Les doigts du géant me masturbaient, ce qui ne l’empêchait pas de discuter avec Maîtresse Syl sur le métier de professeur de gymnastique.

Il s’adressa à moi :

— Je vais t’enfiler ma grosse bite, tu vas miauler de plaisir, tu vas voir comme je vais bien te défoncer le cul, ma petite !

Ses propos me rappelaient ceux des garçons dans le parking et me faisaient peur; heureusement que j’étais accompagnée.

Il me lécha l’oreille et j’eus un frisson. C’est à ce moment que François arriva. Je pensais en avoir terminé avec lui, mais il s’était fait remplacer pour un moment et voulait être de la fête.

Il se positionna entre Maîtresse et le géant face à ma chatte et s’agenouilla pour me manger la moule. C’était divin et je lui lâchais du jus de fille plein la bouche. Il me fit jouir dans les bras du géant, qui continuait à me triturer les tétines.

— Tu vas faire de l’exercice, maintenant ! Rien de tel ...

... qu’un peu de gymnastique pour assouplir ta chair.

Je précédais tout ce petit monde en me dirigeant vers les appareils, ils pouvaient voir mon cul nu s’activer devant eux. Comme à chaque fois, je me demandais ce que j’allais subir.

Le géant me dirigea vers le cheval d’arçons. Ils m’y ficelèrent, la tête en bas et le cul bien ouvert vers le haut.

Pendant que François me suçait les seins, Maîtresse prenait des photos. Le géant m’écarta les fesses à deux mains pour bien voir le trou dans lequel sa bite coulissait, il me labourait sauvagement.

Le lien qui me liait au cheval d’arçons me cisaillait la taille et à chaque mouvement de reins du géant, je sentais le cuir me râper le flanc. Il me gicla dans le cul et une fois sorti de mon intestin, son sperme gouttait sur ma figure. Josiane avait récupéré je ne sais où une corde à sauter et l’avait pliée en deux.

Elle me donnait des coups sur la chatte et le cul, je braillais et Maîtresse me bâillonna avec mon short roulé en boule dans ma bouche. Elle faisait des photos, mais bientôt, remplaça Josiane et m’asséna des coups de plus en plus forts. Mon entrejambe me brûlait et sous moi, le géant et François continuaient de s’occuper de mes seins. Bientôt, c’était mon corps entier qui était fouetté.

Les choses se calmèrent quand François décida de baiser Maîtresse. Josiane me masturbait et le géant ôta mon bâillon pour y mettre sa grosse queue noueuse remplie de grosses veines bleues et encore pleine de sperme.

C’était la ...