Sophie à l'EHPAD (3) - Histoires de Sexe

Sophie à l'EHPAD (3)

... carrelage sous la douche. Sur l’entrefaite, le maître-nageur arriva avec mon slip de bain à la main. Maîtresse l’entreprit et sous prétexte de lui montrer quelque chose l’entraîna dans la cabine en même temps qu’elle m’y faisait entrer. J’étais ravie que Josiane reste à l’extérieur. Je continuais à jouer la gourde et pour plus de réalité, je sortis ma langue, ce qui ne lui échappa pas.

Maîtresse n’avait pas grand-chose à faire pour sortir son sexe de son slip tellement il bandait.

Il ne fallut pas longtemps pour que je me retrouve à genoux, sa bite dans la bouche, et Maîtresse qui le masturbait en gardant bien la direction de mon visage.

Chose assez rare, elle avait accepté qu’il l’embrasse passionnément. Il ne me regardait plus, mais profitait de ma caresse buccale. Le mot est doux, mais l’action était violente et c’est dans ma gorge qu’il trouva son plaisir. Même une fois qu’il eut lâché son sperme dans ma bouche, Maîtresse continua de le masturber et me contraignit à lui ‘’nettoyer l’engin’’.

Je pensais avoir terminé et espérais m’occuper de moi, mais je dus encore lui faire une feuille de rose. Son anus était doux et le goût à peine poivré me réjouissait. J’enfonçais le plus profondément ma langue dans son trou du cul en écartant ses fesses au maximum. Je prenais un tel plaisir et insistais tellement en aspirant, qu’il lâcha encore un jet de sperme.

C’est Maîtresse qui en hérita sur son maillot. Je léchais ce dernier, signe de plaisir, avant qu’il ne ...

... sorte de la cabine. Maîtresse se changea et je la suçai ; elle appuya ma tête contre son sexe béant et je la fis jouir rapidement. Elle avait été tellement excitée que ce ne fut pas compliqué.

Le tour de Josiane était venu et je lui mangeais les lèvres avec mes dents. Elle me masturba pendant ce temps et je jouis à pleine voix, ce qui me valut la main de Maîtresse en guise de bâillon. Je passais mes vêtements et nous ressortîmes de la piscine. Je pensais que nous allions rentrer, mais c’était sans compter sur l’imagination de Maîtresse Syl.

Elle nous emmena vers le gymnase, mais celui-ci était fermé pour cause d’entretien, dixit le mot sur la porte. Elle frappa à la vitre et un géant vint nous ouvrir.

— La petite veut faire de la gymnastique, c’est François le maître-nageur qui nous envoie.

J’étais passée sous le sobriquet de petite ! Bon, c’est vrai que je ne suis pas très grande et plutôt frêle avec mes 45 kilos.

Il nous fit pénétrer dans la salle où il y avait un tas d’engins de torture à fabriquer du muscle.

Ainsi c’est de cela que Maîtresse avait parlé avec le fameux François à qui j’avais fait une pipe et léché le trou du cul !

Le géant me prit à bras le corps et s’assit sur un fauteuil en me posant sur ses cuisses dans le bureau du gymnase. Mes deux accompagnatrices lui faisaient face sur des chaises confortables.

Je sentais sa main palper mes petits seins et les sortir de mon mini-haut qui ne tenait plus en place et me fut ôté. Une de ses mains ...