1. Sophie à l'EHPAD (3)


    Datte: 25/04/2021, Catégories: Trash, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

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    Maîtresse était curieuse de tenter de nouvelles expériences, j’avais vite compris que c’était la première fois qu’elle disposait d’une soumise à qui elle pouvait tout faire. Au début, elle me réservait à son usage domestique : Charles, Phébus et Perceval. Mais après quelques jours, elle décida d’élargir les champs des possibles en m’introduisant dans la vie extérieure à la maison, non pas qu’elle se lassait, mais je la sentais curieuse de me tester en milieu ouvert.
    
    Elle me mit à l’épreuve constamment en organisant des sorties impromptues et me mettant dans des situations de plus en plus gênantes.
    
    Charles avait été chargé de trouver une personne dans le milieu médical, en l’occurrence un infirmier, pour poser dans mon vagin un tout petit engin cylindrique en aluminium. La particularité de cet appareil était de décharger par l’un ou l’autre bout, suivant la force désirée, de petites décharges électriques. Sans danger ! avait dit Maîtresse Syl qui l’avait acheté à un ami qui vivait à New York. Elle le pilotait de son smartphone.
    
    La mise en place était plus compliquée que prévu, car il fallait qu’il soit introduit tout au fond de mon vagin, près de mon méat urinaire. Il était fixé un peu comme un stérilet. C’était donc allongé sur la table de la salle à manger, les jambes en l’air, un spot dirigé en direction de ma chatte, que l’opération se déroula.
    
    Maîtresse avait posé des pinces à linge sur mes lèvres et les avait liées à mes cuisses par des ...
    ... élastiques pour que mon orifice restât grand ouvert en permanence.
    
    L’infirmier, grassement payé d’après ce que je compris, pratiquait avec deux longues pinces qu’il manipulait à l’intérieur de ma vulve. La sensibilité de mes organes sexuels était mise à rude épreuve, et mon envie était visible, trahie par la cyprine qui s’échappait à la vue de tous, de mes muqueuses internes.
    
    L’objet fut placé, c’est Maîtresse qui eut l’honneur de tester l’application du bout de ses longs doigts fins.
    
    Je ressentais, en même temps qu’elle appuyait sur l’écran de son téléphone, une décharge au tréfonds de mon sexe qui me laissa pantelante : comme un orgasme, mais en plus sourd et plus rapide.
    
    Une violence rare comme un pincement de mon clitoris en même temps qu’un millier de fourmis sortait de ma chatte.
    
    L’infirmier s’y essaya également, je mordais mes lèvres pour ne pas jouir, mais le fait que ce soit un inconnu m’excitait encore davantage et j’eus un orgasme plutôt bruyant.
    
    Autant vous dire que je passais ma journée dans la maison et dans le jardin à subir des décharges jouissives. La variation était très nette entre un bout du cylindre et l’autre. Le second était plus doux, moins agressif, cela me donnait l’impression qu’un mouvement circulaire s’opérait à l’intérieur de mon sexe.
    
    La journée fut épuisante et Maîtresse décida que le lendemain nous testerions l’engin dans des lieux publics.
    
    Nous partîmes avec Charles, qui veillait au grain dans toutes nos sorties. J’avais pour ...
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