Sophie à l'EHPAD (3)
Datte: 25/04/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... chaleur qui gagnait mes intestins, et qui me remplissait. Au bout de quelques minutes, le liquide fit gonfler mon ventre comme si j’étais enceinte. Mon bidon s’arrondissait et je me sentais remplie comme après un repas trop copieux.
La seconde bouteille vidée dans la poche déclencha une vraie gêne dans mon ventre. Je devais serrer mon anus pour que le liquide ne coulât pas. Mes jambes, toujours en l’air, commençaient à me peser, la position était inconfortable. Et comme je n’avais pas été punie d’avoir parlé, je me permis de le lui faire savoir. Bien m’en prit : il me fit mettre les pieds à plat sur le banc, et avancer mes fesses au ras de l’assise; mais toujours allongée. Il surveilla l’avance du café, et le régla pour un débit plus lent, la pince à clamper qui était sur le tuyau.
Pour patienter, il caressait ses chiens qui tiraient toujours sur leur lien pour aller dans ma direction.
Ne pouvant rien leur refuser, il prit la laisse de Phébus - décidément, c’était son chouchou - et le guida jusque devant mon entrejambe ouvert. Le cabot me lécha tout le temps que dura le remplissage de mes intestins. En fait, cela m’aidait à patienter, et comme je remuais, le canin y trouva matière à satisfaire son envie de langue.
La poche vide, je ne restais pas en place, je secouais mon cul dans tous les sens, implorais Charles de me laisser me soulager. Mais il ne voulait pas et me punit d’avoir parlé en me tordant sans relâche mes deux tétons à la fois. Mon sphincter se ...
... relâcha, et du liquide brun sortit de mon cul, vite avalé par Phébus.
Mes tétines me cuisaient, mais je l’avais bien cherché : j’avais parlé et je méritais un châtiment. Il les tournait en même temps qu’il les tirait et les pinçait. Mes tétons étaient raides, et comme à chaque fois, ils s’étiraient et finissaient par ressembler à une tétine pour les biberons !
Le temps passait et Charles m’avait débarrassée de Phébus. Je me tordais, tellement mon ventre était rempli. Je pensais aux femmes qui accouchent.
Enfin, Charles me donna le feu vert en ôtant la canule et me fit signe d’aller évacuer.
Je n’eus pas la force d’aller bien loin et me vidai devant lui en cascades brunes et odorantes. La honte m’envahit, mais le fait qu’il était muet me rassura. Il ne pourrait pas faire de remarques désobligeantes.
Même les chiens me regardaient me rependre devant leurs yeux. Charles s’était baissé et reluquait mon anus distendu et le liquide qui s’échappait de mon trou du cul. Il n’en finissait pas d’en sortir et je poussais comme pour chier afin qu’il ne reste plus rien à l’intérieur. Charles me maintenait au sol et me faisait avancer vers les lévriers qui se firent un plaisir de me nettoyer le cul et en passant, la chatte aussi.
Au moment de me faire manger, Maîtresse Syl interrogea Charles pour savoir si mon lavement s’était bien passé. Je baissais la tête. A y repenser, la honte me gagna à nouveau.
Je passais la nuit sur le tapis de la chambre de Maîtresse.
Le centre ...