L'initiation de Cerise - Histoires de Sexe

L'initiation de Cerise

... dos et son cou sont massés. Les doigts de sa main sont léchés, elle attrape un sexe pour le branler, Cerise s’abandonne. S’en serait-elle jamais crue capable à ce point ? Des cris puissants lui échappent, maintenant. Des "oui !", des "encore !", des "défonce mon cul de pute !". Les mots crus qu’elle voulait, on les lui lance maintenant :

— Regarde comme elle aime ça !
— Allez, écarte !
— Prend ma queue bien au fond !
— Cambre ! Mieux que ça, donne ton cul de salope !

Cerise entend ces mots comme s’ils montaient d’une mémoire enfouie au tréfonds d’elle-même. Elle ne comprend pas d’où ils viennent, ces mots qui tant l’excitent, elle qui n’a rien d’une femme soumise dans la vie ordinaire, une femme indépendante au contraire, qui ne se laisserait mener par aucun homme. Elle ne ressent pas de honte pourtant. Ces hommes, ici, qui la consomment, jouent avec son corps, ne semblant concernés que par leur seul plaisir, elle ne leur en veut pas. Après tout, c’est elle-même qui a voulu venir. Elle savait que tout pouvait arriver. Elle aimait cette situation, elle se sentait ...

... forte dans cet abandon de son corps, de son sexe ouvert. Elle se sentait femme enfin, non pas qu’une femme dusse être soumise, ni objet de sexe, mais parce qu’il lui semblait que le choix de se donner, elle l’avait fait elle-même, seule, qu’en offrant son corps en pâture elle en avait d’autant plus la maîtrise. Quand ils auraient joui, elle aurait joui aussi, et aussitôt le jeu cesserait.

Mais pour le moment, Maxime lui déchire l’anus. Il se retire pour que ses compagnons aient chacun leur plaisir en ces deux trous qui leur sont offerts. Le sperme jaillit sur le bas de son dos, sur ses cuisses, ses fesses. Maxime préférera éjaculer sur son ventre aussi et d’une main étalera sa semence jusque autour de ses seins.

Cerise atteint l’orgasme trois fois. Le plus fort aura précédé de quelques secondes la jouissance de Maxime.

Maintenant, elle est épuisée. On a ôté son bandeau. Elle découvre les visages de ceux qui viennent de la prendre. Elle leur sourit. L’atmosphère est délicieusement alanguie. On se regarde, on se caresse, on échange quelques mots et bientôt on rira.