L'initiation de Cerise - Histoires de Sexe

L'initiation de Cerise

... soirées. Au début, Maxime avait été surpris et un peu embarrassé, mais peu à peu une complicité s’était installée entre nous, si bien qu’il avait accueilli avec enthousiasme ma demande quant à Cerise. Il réunirait dans son studio parisien quatre garçons, choisis pour leur sensualité, leur toucher sensitif, la fermeté et la grosseur de leur membre. Un soir, je leur amènerais Cerise qui ne serait pas prévenue avec exactitude de l’épreuve qui l’attendrait.

Lorsqu’elle entre dans l’appartement, vêtue de sa robe bleue ciel cintrée qui met en valeur ses formes et sa cambrure, Cerise a déjà le bandeau noir sur les yeux et un collier de cuir à anneaux attaché autour du cou. Maxime se présente d’un ton courtois et nous invite à entrer dans la pièce principale. La lumière est tamisée. Il y a peu d’espace car une table assez basse sur laquelle est posé un futon occupe le centre de la pièce. Des attaches de poignets sont apparentes. Elles ont été fixées aux pieds de la table. Trois hommes d’environ 25, 35 et 50 ans, le torse nu, sont postés autour de la table. Nous nous saluons sans mot dire.

Maxime a des consignes claires. Il devra être direct avec Cerise, sans précaution d’aucune sorte. Cerise sait qu’elle va être offerte. Elle est prête, mais elle ignore la présence des autres hommes. Maxime saisit Cerise par les poignets et l’amène face à la table. Il dégrafe sa robe qui tombe à ses pieds. Cerise est nue maintenant car elle ne portait pas de lingerie. Sa peau blanche et ...

... laiteuse luit dans pénombre de la pièce. D’une pression sur les épaules, Maxime fait s’agenouiller Cerise. D’une main, il caresse le creux de ses reins et descend sur ses fesses. Puis il bascule son buste sur la table. Cerise montre le bel arrondi de ses fesses que Maxime effleure de sa grande main. Son index s’égare dans la fente en un doux mouvement en allers-retours. Cerise lâche un léger gémissement. Maxime en profite pour presser plus fort et s’arrête sur l’anus. Un "non" sec et aigu échappe à Cerise. Par une forte claque sur sa croupe Maxime répond à ce refus.

— Ce soir, c’est à moi que tu appartiens, et par où je veux. Cambre-toi, cambre-toi bien.

Cerise obéit, et Maxime saisit à pleine main la chair rebondie du fessier qu’il écarte fermement. Il peut alors contempler l’admirable raie imberbe et soyeuse, puis en goûter de la pointe de sa langue toute la tendresse juvénile.

Les trois hommes regardent sans bouger. Cerise sent leur présence, leur odeur. Dans cette position où Maxime la tient, elle se sent déjà prête à tout. Maxime la relève et après l’avoir retournée la bascule sur le lit. Les hommes saisissent alors ses pieds et poignets et les placent dans les anneaux de cuir aux quatre coins du lit. Cerise se laisse attacher docilement. Elle aime se sentir sans défense, son corps offert à l’inconnu. Bientôt des mains l’effleurent, caressent ses jambes, remontent le long de ses cuisses ou massent ventre et seins. Elle ne peut compter toutes ses mains, c’est cela qui ...