Promesse de vengeance - Histoires de Sexe

Promesse de vengeance

... vidé un peu mes couilles, mais je t’ai réservé d’autres cartouches.
— C’est vrai, tu n’as pas débandé.
— Et maintenant, je vais te baiser à fond.
— C’est incroyable, tout a été si vite, tu m’as mis le grappin dessus sitôt que mon mari a tourné le dos, tu m’as sautée et maintenant tu recommences. C’est moche de faire ça à mon mari, mais le plus incroyable, c’est que j’adore ça.
— Tu es chaude, ma salope.
— C’est toi le salaud de profiter de moi. Allez, fais-moi jouir avant que mon mari ne revienne.
— Alors, tu l’aimes, ma bite ?
— Je l’adore, elle est grosse et dure comme j’aime, elle me fait du bien.
— Tu n’as pas menti, tu aimes vraiment la queue, on dirait. J’aurais bien voulu que tu me montres comment tu suces.
— Je te promets, je te ferais une bonne pipe à la première occasion, tu trouveras bien un moyen de me coincer quelque part pour te faire sucer. Là on n’a pas trop le temps. Maintenant, fais-moi l’amour, baise-moi.
— Dommage, je suis sûr que tu es une gourmande. J’ai bien noté ta proposition, compte sur moi pour te rappeler ta promesse. Je vais revenir te baiser, ma salope, et j’ai l’intention de te remplir aussi la bouche.
— Je te promets, je te ferais une bonne pipe. Mais quand comptes-tu revenir pour coucher avec moi ?
— Un matin, dans les prochains jours, je guetterai le départ de ton mari pour monter chez toi, je n’ai pas l’intention de perdre une seule occasion de te mettre un coup.
— Mon mari ne va pas être content, mais ma petite chatte va ...

... apprécier.
— Mais t’inquiète, je vais te la baiser, ta belle chatte.
— J’ai trop envie, je n’en peux plus.
— Moi non plus, à ce train-là, je ne vais pas résister longtemps, je vais encore décharger.
— Décharge tant que tu veux, mais ne t’arrête pas, baise-moi fort.
— Tu en veux, toi !
— Oui, j’en veux, je veux tout, baise-moi, remplis-moi !

Philippe changea un peu de posture, il releva les cuisses plus haut, prit de nouveaux appuis et pilonna avec encore plus de force le vagin matrimonial. Difficile de dire depuis combien de temps nous étions là, mon voisin et moi, à mater ma femme et son amant, de nombreuses et longues minutes sans bouger, moi, j’étais éberlué et tétanisé par la scène et surtout par l’attitude de mon épouse, le voisin ravi n’osait bouger un cil de peur de nous faire découvrir tandis qu’elle suppliait :

— Ne t’arrête pas, continue, je vais jouir.
— Ça y est, je viens.

L’infidèle eut un orgasme démonstratif avec force gémissements et contorsions tandis que son amant continuait à pilonner son ventre. Elle cria presque :

— Régale-toi mon chéri, vas-y, lâche-toi, viens, remplis-moi la chatte.
— Je vais tout te mettre au fond ma salope.
— Oui, vas-y, envoie tout, je suis à toi.

Philippe ne se le fit pas dire deux fois. Il donna de grands coups en lâchant sa semence tandis que sa partenaire se tordait de plaisir. Puis la bête à deux dos s’écroula, déconnectée du monde pendant quelques longues secondes avant d’émerger :

— On dirait que tu aimes ...