La grande désillusion
Datte: 15/04/2021,
Catégories:
fh,
cocus,
gros(ses),
groscul,
poilu(e)s,
campagne,
jardin,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
uro,
journal,
Humour
Auteur: XL, Source: Revebebe
... membre mielleux. Et puis, elle trouva sa position trop humiliante…Elle souriait à l’idée lumineuse qu’elle venait d’avoir… Elle m’allongea alors sur le gazon, s’accroupit au-dessus de mon membre raide et enfila son petit orifice anal dessus. Agrippée sur mes hanches, elle agitait le buste au rythme de sa pénétration. Ses seins, bizarrement asynchrones, dansaient une gigue folle, comme libérés de la pesanteur. Son mouvement, uniforme, augmentait régulièrement l’invasion de son ventre. Marie-Jo observa mon visage un instant pour évaluer ma satisfaction, puis sa main droite s’égara encore sur son clitoris. Elle se mit à le caresser frénétiquement jusqu’à un cri assourdi, rauque et animal qui accompagna mon éjaculation trop longtemps contenue. Je m’apprêtais à composer l’épilogue de mon récit, quand un éclair d’honnêteté intellectuelle me traversa l’esprit :
Pourquoi ne pas raconter la vérité vraie, sans triche, sans mensonge (même par omission) ? D’abord, l’infarctus de Jean-Paul avait vraiment eu lieu en ma présence, mais je couchais déjà avec son épouse depuis deux ans. Marie Jo avait des nichons moelleux, une croupe de rêve et une chatte très poilue. Que demander de plus ? D’autant qu’elle avait une imagination débordante pour la bagatelle… (Son mari n’avait qu’à être à la hauteur de ses devoirs conjugaux !)Autre précision : mon épouse ignora totalement notre liaison, même quand ...
... elle quitta le domicile conjugal. Elle vivait à présent une nouvelle vie (dixit ma moitié) avec un intello. Il animait des séminaires d’analyse transactionnelle (cela ne s’invente pas !).
Par contre, l’épisode du petit-déjeuner dans le jardin avec la pose d’une girouette (antenne de TV en fait) est authentique. Juste décalé dans le temps. À l’époque, tout jeune ingénieur, je devais programmer un robot (première génération) dans une usine de conserverie bigoudène. Ma multinationale m’avait logé chez l’habitant, pour une bonne semaine de travail. Mon hôtesse était veuve (mari marin mort dans l’amer combat… avec une cirrhose). Notre débauche de fornication commença le dimanche matin et se prolongea les trois jours suivants… La bretonne était vraiment en manque d’affection. Elle avait une santé d’enfer malgré ses soixante-quatre ans avoués.
Je viens d’éteindre mon PC portable, ultime cadeau de ma multinationale pour compenser une mise en fausse préretraite anticipée. L’humiliation suprême, même avec une grosse compensation financière. Un cadre supérieur coûte trop cher. Marie Jo a suivi son époux qui a choisi de vivre sa retraite en Espagne. Je suis seul, tout seul. Par la vitre de ma chambre, une guirlande de Noël éclaire partiellement la porte principale du bâtiment principal. Il est vingt-trois heures.
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