La grande désillusion
Datte: 15/04/2021,
Catégories:
fh,
cocus,
gros(ses),
groscul,
poilu(e)s,
campagne,
jardin,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
uro,
journal,
Humour
Auteur: XL, Source: Revebebe
... brin de toilette, elle insista pour que je dorme dans la chambre d’amis. Elle avait un peu peur de rester seule, dans son pavillon, en retrait de la route. Après un gros bisou amical, alors que je me préparais à faire un gros pipi, elle courut nue et sans complexes, en rigolant, vers les toilettes pour me précéder. Elle fut à peine surprise que j’y entre avec elle et que je l’empêche de s’asseoir. Un jet abondant de génisse éclata de sa touffe luxuriante… vision de cascade amazonienne…
Le lendemain matin, j’avais installé le petit-déjeuner sur la table du salon de jardin, bien avant que Madame ne prenne sa douche. Marie-Josée arriva pimpante, revêtue d’un grand T-shirt blanc décoré d’un énorme Titi jaune vif. Ses seins épanouis se baladaient librement sous la liquette qui ne dépassait pas le haut de ses cuisses. Après une bise amicale, elle me remercia de lui avoir épargné la corvée du petit-déjeuner. En buvant son café, elle me posa une question saugrenue :
— Est-ce que tu es sujet au vertige ?
Très méfiant, vu les galères qu’elle imposait régulièrement à son mari, je lui demandais de ne pas tourner autour du pot. Il s’agissait d’accrocher sur le toit, une girouette en fer forgée par son papa, avant sa maladie. Jean-Paul verdissait en haut d’un petit escabeau, donc l’ultime cadeau du papa traînait depuis un an. Elle se rendit compte que je n’étais pas très chaud, même à hauteur du plein pied du pavillon. À mon grand étonnement, elle n’insista pas. Elle se leva, ...
... comme si de rien n’était, pour aller couper les fleurs qui manquaient, d’après elle, sur la table de jardin. Me tournant le dos, Marie-Jo parcourut deux mètres avant d’incliner son buste pour couper des pivoines pourpres, encore perlées de rosée. Elle découvrit ainsi la moitié de son arrière-train dénudé ainsi que sa toison dont les poils frissonnaient à la légère brise matinale. Je suis sûr que cette provocation exhibitionniste fut préméditée. Elle montra une satisfaction certaine en découvrant mon membre, en petite érection, émerger de la fente du pyjama emprunté à son mari. Marie-Jo, calme et déterminée me proposa alors, froidement, le marché de sa machination :
— Si tu poses la girouette, tu auras droit à une faveur disons… exceptionnelle de ma part
Perplexe, je voulus en savoir plus. Marie-Josée me répondit évasivement, en baissant les yeux pour jouer à la petite fille sage :
— Peut-être que cela est en rapport avec mon gros derrière dont tu te moques souvent…
Oh là !!!
Le coq métallique tournoyait fièrement sur le toit, indifférent aux agissements de l’échantillon d’humanité décadent qui s’agitait à ses pieds. Après une fellation vigoureuse, Marie-Jo recouvrit coquinement mon membre avec le miel qui traînait sur la table de jardin. Elle me tendit ensuite le pot, pour que je m’occupe de lubrifier son petit trou du cul. Le buste posé sur la table en plastique, les bras accrochés au rebord, ma partenaire se laissa élargir délicatement l’ouverture anale par mon ...