La grande désillusion
Datte: 15/04/2021,
Catégories:
fh,
cocus,
gros(ses),
groscul,
poilu(e)s,
campagne,
jardin,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
uro,
journal,
Humour
Auteur: XL, Source: Revebebe
La grande désillusion !
Marie-Josée, complètement paniquée, s’accroupit pour soutenir la tête de son mari. Allongé sur le sol, il se plaignait de douleurs intenses dans la poitrine. Agenouillé près du malade, je le menace d’appeler le SAMU. Il accepte, à contrecœur, que je lui injecte sous la langue, une giclée de mon spray vasodilatateur. J’ai un peu honte, dans ce moment tragique, d’égarer mon regard sous la jupe de ma copine. Accroupie, elle offre bien involontairement une vision partielle de sa lingerie intime. Marie-Jo, en cet instant, ne se soucie guère de sa jupe droite qui remonte très haut sur ses cuisses imposantes. Elle entrouvre encore plus les jambes, pour assurer sa stabilité. Elle réprimande gentiment son époux. Jean-Paul avait eu des alertes cardiaques, mais il repoussait nonchalamment son bilan de santé. N’éprouvant aucun scrupule, mon regard se fixe définitivement entre les cuisses courtes et musclées de l’épouse stressée et impudique. Les Dim-up blancs, légèrement nacrés, mettent en valeur une vaste petite culotte fuchsia. La taille, à la ceinture, était certainement supérieure à la mienne (les origines slaves de Marie-Jo n’étaient certainement pas étrangères à sa croupe large et rebondie…). Le textile rose, aux bords flottants, sculpté de broderies plus foncées, s’évasait fortement vers l’entrejambe. Il n’aboutissait qu’à un triangle restreint, ayant du mal à contenir un pubis délicatement bombé. Je n’entends même pas ma copine qui dût insister pour ...
... que j’envoie une seconde giclée de spray à son époux. Elle est à des lieux de penser que ses dessous fuchsia régalent ma perversité malsaine en ces moments pathétiques. Je réussis quand même à convaincre son époux de se laisser emmener aux urgences du CHR dans mon véhicule. Marie-Jo prend l’initiative de le relever avant qu’il ne change d’avis. Cette heureuse initiative provoqua un léger, mais frémissant mouvement des bords flottants de la petite culotte, d’où s’échappent maintenant quelques longs poils frisés, en quête de liberté…
Je connais Marie-Josée depuis belle lurette. D’abord en tant que collègue de mon épouse, puis plus intimement ensuite : quand son service passa à l’informatique et qu’elle devint la risée du bureau, elle me supplia de lui donner un approfondissement de formation (je suis ingénieur en robotique). Très consciente, elle comprit vite avoir atteint son niveau d’incompétence. Elle devint une très bonne amie, tant elle était délurée et excentrique. Nos deux couples, presque quinquagénaires maintenant, se rencontraient régulièrement. Chaque fois qu’elle devait recevoir des gens trop sérieux, elle m’invitait, pour rendre la soirée moins triste. Marie-Jo jugeait mon humour acide et mon non-conformisme revigorant. Cette bonne femme semblait assez quelconque, en apparence : cheveux assez raides, mi-longs, blonds cendrés, croupe large et rebondie, nez musqué. Pourtant elle affichait un caractère très trempé et une volonté d’acier. Son mari lui, était la crème ...