La grande désillusion
Datte: 15/04/2021,
Catégories:
fh,
cocus,
gros(ses),
groscul,
poilu(e)s,
campagne,
jardin,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
uro,
journal,
Humour
Auteur: XL, Source: Revebebe
... des hommes. Il accédait à tous ses délires, exemple abattre un mur dans la cuisine pour le reconstruire un an après, parce que Mme avait changé d’avis ! À chaque bouffe, entre copains, elle apparaissait coquette, voire quelquefois sexy : maquillage sophistiqué mettant en valeur ses yeux gris bleus, lèvres peintes pulpeuses, décolleté provocateur qui dévoilait souvent la dentelle du soutien-gorge, jupe moulante et courte.
Jean-Paul qui doit rester au CHR trois jours aura droit à la totale : scanner, angioplastie, dilatation…. Le radiologue déclara même que mon intervention, avec le vasodilatateur, fut peut-être, primordiale. Sur le chemin du retour, il est presque 19 h. Dans la voiture, Marie-Jo, très gaie, soulagée par l’optimisme du médecin, me propose de souper dans un resto chinois. Elle insiste grossièrement, car son cher époux se cantonnait (c’est le cas de le dire) aux escalopes spaghettis et au steak frites. Comme mon épouse pouponne chez sa nièce à Paris, j’accepte bien volontiers. En un tournemain, Marie-Jo, toujours aussi imprévisible, étire ses yeux en amande, grâce à un maquillage savant et m’entraîne dans ses fantasmes puérils tout au long d’un repas joyeux. Elle m’impose un Crémata chez elle, avant que je regagne ma maison vide. Je craque l’allumette sur le café chaud, imbibé de cannelle et d’alcool…Marie-Jo, vautrée sur la moquette, remplit la petite louche en argent, l’élève au-dessus du récipient posé au sol et renverse lentement le liquide brûlant dans ...
... un chatoiement de flammes bleues ondulantes. Un dialogue intime prend étrangement naissance autour du seul point de lumière du salon. Tout y passe : le boulot, les amis, l’argent, la vie conjugale… Le Crémata est parfait pour moi, trop alcoolisé pour ma copine. Le temps passe, on s’épanche, on rigole, on redevient sérieux. Marie-Josée, un peu éméchée, avoue que je suis un ami qu’elle apprécie beaucoup, mais que jamais elle n’aurait pu vivre en couple avec moi ! J’étais (d’après elle) anarchiste, trop peu malléable… voire assez borné quelquefois !!!
Vexé, je rétorque, à l’emporte-pièce, que de toute façon, sa culture familiale de catho intégriste aurait châtré ma libido… Elle me fixe d’un regard (alcoolisé) de défi.
— Tu t’avances beaucoup, mon cher ami ; tu ne me connais pas !
Pas convaincu du tout, je lui dis en rigolant
— Chiche !!!
Marie-Josée partait toujours au quart de tour quand on lui lançait un challenge (c’était son tempérament). Là, quand même, elle me mit sur le cul. Le visage déterminé, elle se leva, dégrafa sa robe qui tomba à ses pieds. Aucun muscle de son visage n’avait tressailli. Elle lança, provocante :
— C’est au pied du mur, qu’on voit le maçon…
J’étais persuadé qu’elle bluffait, alors je m’approchais d’elle, persuadé de sa panique prochaine. J’enfouis la main droite sous le bord flottant de sa culotte fuchsia. Je saisis à pleine main une voluptueuse chatte velue et, sans aucun préliminaire, commençais à l’explorer. Marie-Jo ne broncha ...