Le Mauvais Chemin 09
Datte: 07/04/2021,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... sexe, le sourire aux lèvres.
Quand Nathalie se réveilla, Henri était allongé à ses cotés, lisant un bouquin. Il avait peur qu'elle ne se rende compte de quoique ce soit. Il n'en fut rien. Sa femme, toujours dans son enfer, ne dit pas un mot. Ils se levèrent. Déjeunèrent. Henri redonna un somnifère à sa femme, qui remonta se coucher. La chaleur était telle, que cette fois encore la femme se déshabilla pour dormir. Hervé, quand à lui, sortit, entouré de ses gardes du corps, pour faire une course. Il ne s'absenta qu'une heure. Quand il revint, il remonta immédiatement voir sa femme. Elle dormait de nouveau, grâce à sa camisole chimique. Il se déshabilla, refit son test en la secouant. Une fois encore elle ne se réveilla pas. Alors, l'homme d'affaire sortit de la poche de son manteau, posé sur le fauteuil en face du lit, une petite boite. Il prit un des fameux comprimé bleu, il alla se coucher au coté de son épouse. Grâce aux pilules magique, il la prit quatre fois en douze heurs. Dans la chatte, le cul ou même la bouche. Jamais il ne l'avait baisé autant.
Deux mois avait passé depuis le retour de Nathalie et Stéphanie de leurs purgatoire sexuel. Les deux femmes ne s'en remettaient pas. Nathalie était sous psychotrope la journée, et puissant somnifère le soir. Ce qui permettait à Henri de jouir du corps de sa femme à loisirs. Ce dernier ne travaillait plus beaucoup, laissant à ses adjoints le soin de diriger sa puissante société. Enfin, la puissante société de sa femme, ...
... lui même n'étant après tout qu'un employé. Henri ne prenait plus que les décisions majeures, déléguant au maximum à ses subalternes. Il se contentait de donner la marche à suivre, d'approuver ou réprouver ce qu'ils lui proposaient. Jusque à présent cela marchait parfaitement, les bénéfices déjà faramineux de la multinationale, augmentant encore de près de huit pour cent, un record au niveau mondial. Nathalie traînait comme une âme en peine. Regardant la télévision à longueur de journée, ne sortant presque plus, ou très peu, mais seulement accompagnée d'une meute de garde du corps. La femme était au bord de l'agoraphobie, même le contact de son mari la répugnée. D'ailleurs elle songeait au divorce, la femme en avait d'ailleurs parlé à leurs avocat, lui demandant la plus parfaite discrétion. Rien que de savoir qu'un homme, fut-ce son mari, partagé son lit, lui donnait la nausée. Même si il ne la touche pas, juste le savoir à ses coté, était une torture.
Pour Stéphanie, c'est encore pire. L'opération à été un succès, ses orifices sont neuf. Mais physiquement elle porte toujours les traces de ses multiples viols. Les cicatrices ne disparaîtrons jamais, aussi bien physiquement que moralement. La jeune femme pleure toute la journée, prend une douzaine de douche par jour. Elle ne veut plus jamais voir un homme, ne sort plus de sa chambre. C'est une femme qui doit lui monter ses repas, lui donner ses médicaments. Mais elle ne les prends plus. Chaque fois qu'elle dort, elle revoit ...