Le Mauvais Chemin 09
Datte: 07/04/2021,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... venaient d'arriver à la clinique du professeur Durand.
L'opération dura quatorze heures. Le professeur Durand, qui était épuisé alla voir Henri.
- L'opération à été un succès. Le vagin et l'appareil anal de ta fille sont comme neuf. Une vraie vierge, enfin l'hymen en moins.
- Merci, vraiment merci.
- Henri serra son ami dans ses bras.
- Par contre elle va rester deux semaines ici, sous surveillance.
- D'accord, je viendrais la voir.
- Pas la peine, je vais la plonger dans un coma artificiel pendant une semaine. Reviens la semaine prochaine quand elle se réveillera. Pour l'instant occupe toi plutôt de Nathalie.
- D'accord, merci, merci pour tout.
Hervé rentra chez lui en taxi. Quand il arriva, l'adjointe du professeur Durand rentra chez elle. La jeune femme venait de donner un nouveau somnifère à la femme d'Henri. Ce dernier, exténué, alla se coucher prés d'elle. Il sombra rapidement dans un profond sommeil, dormant sept heures d'affilées. Quand il se réveilla sa femme dormait d'un sommeil profond. La chaleur étant étouffante, Nathalie dormait nue, sur le ventre. Son corps portait les horribles stigmates de ses multiples viols. Il voyait son cul, qu'il n'avait jamais eut, mais que ces voyous ont pris tant et tant de fois. Il admira de longs instants le cul encore splendide de sa femme. Il sortit de sa contemplation, alla prendre une douche. Il se fit un café, mais la vision du cul de sa femme n'arrivait pas a sortir de son cerveau. Hervé se rendit ...
... compte qu'il bandait dur. Trois semaines qu'il n'avait pas baiser. Pas avec sa femme, cela fait bien plus longtemps avec elle. Non, il couchait avec son assistante personnelle. Une splendide jeune femme de trente ans. Mais c'est vrai, le cul de sa femme l'attirait, il était vraiment splendide. Dans sa tête, tournait la phrase du professeur Durand « Même une douche ne pourra pas la réveiller. ». Une idée germa dans sa tête.
Après avoir déposé Moussa et le toubib, Igor était parti. Sa destination était mystérieuse, mais il leurs avait demandé de l'attendre dans la vieille usine, là où avait eut lieu les viols de Nathalie et Stéphanie. Comme on ne discute pas un ordre d'Igor, les deux homme l'attendaient depuis deux bonnes heures, somnolant. Ils se reposaient dans la salle des gardes, prés des cellules. Le géant revint à ce moment, portant deux immense sac de sport. Il les lança au pieds de Moussa et du toubib.
- Ouvrez.
Les deux hommes se regardèrent surpris, et obéirent. Les sacs étaient remplis de billets de cinq cents euros, de bons aux porteurs. Ils regardèrent Igor. Moussa resta sans voix, jamais il n'avait vu autant d'argent. Seul le toubib put parler.
- Putain, Igor, il y a combien?
- Dix millions.
- Merde, tu les as eus comment?
- C'est la rançon des deux petites bourges.
Il regarda Moussa en souriant.
- Pourquoi tu crois que je t'ai demandé de faire cloné leurs puces de téléphones, à ces deux chiennes?
- Ben, je ne savais pas, mais sûrement ...