La fin du monde ? - Histoires de Sexe

La fin du monde ?

... veux… Mais, très vite, la porte s’ouvre ; Julien et Caroline reprennent leur place. Vincent délaisse le sein de Charlotte et questionne sa compagne :

— Qu’est-ce que vous avez fait pendant ces cinq minutes ?
— Ça ne te regarde pas.
— Ah bon…

Un ange passe et se rince l’œil car il ne s’agit sûrement pas de l’un des sonneurs de trompettes de l’Apocalypse ! Chacun a regagné sa place. Isabelle nous montre une tenue de Mère Noël :

— Deux pièces, velours et fourrure ; le haut est noué sur le devant par un ruban de satin, très facile à ouvrir, explique-t-elle.

Je prends une option sur cette tenue, mais je désire voir les nuisettes. Je me promets en effet d’en essayer une devant Julien, car pour l’instant il embrasse Charlotte. Caroline a posé sur le bas-ventre de Vincent une main de propriétaire. Laurent se rapproche de moi et caresse mes seins, encore humides de sa salive et de celle de Vincent. Les couples se reconstituent ! Il faut que ce ne soit que provisoire…

Il y a deux trousses de cuir beige au fond de la valise dans laquelle fouille Isabelle. Je lui demande ce qu’il y a dedans.

— Il m’arrive de proposer aux femmes, seules ou non, quelques sextoys du type vibro-masseur, œuf ou canard vibrant, godes de diverses tailles. J’en ai même un qui est gonflable. J’ai aussi des stimulateurs à clitoris, une pompe à clito vibrante, des boules de geisha… Regardez donc !

Elle vide une trousse sur la table.

— Voilà de quoi se passer de vous, messieurs, plaisante ...

... Charlotte… Tu en utilises, Isabelle ?
— Je mentirais si je disais non. Faute de mieux… Vous avez de la chance, vous autres, d’avoir toujours un mec sous la main.
— Et ça ? demande Caroline qui a lâché la verge de Vincent.
— C’est un œuf vibrant avec télécommande, dont dispose ton chéri. Tu es au bureau ou dans une boutique et soudain l’œuf, bien au chaud dans ta plus secrète intimité, se met à vibrer – mais en silence, rassure-toi ! Auparavant, tu as promis de ne l’enlever sous aucun prétexte, bien sûr.

Brillent les yeux de nos mecs ! Je sens qu’ils vont acheter ce truc… Il y a aussi, dans l’autre trousse qu’ouvre maintenant Isabelle, des menottes recouvertes de velours rouge ou noir et diverses pinces, avec ou sans chaînettes.

— Donne-moi une paire de pinces pour Sophie qui est un peu maso, demande Laurent. Tu les as essayées, Isabelle ?
— Bien sûr !

Il applique sur mes tétons déjà bien gonflés des pinces à chaînette d’acier. Je n’ai pas vraiment mal, mais un peu quand même : juste ce qu’il me faut. Comme les seins de Caroline peuvent très facilement sortir de son soutif demi push-up, Vincent gratifie ses tétons de deux autres pinces, dont l’une tombe aussitôt tellement elle ne serre pas fort. Isabelle montre à Vincent qu’une molette sert à les régler, car il faut bien qu’elles fassent un petit peu mal, quand même, explique-t-elle.

— Elle te les mettra ensuite sur les couilles, tu verras… Bon, ajoute-t-elle, si vous voulez le soutif à mamelon proéminent, il ...