1. Mon Apocalypse à Moi 10


    Datte: 05/04/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

    ... faire. Trois des assaillants plongèrent dans un fossé, alors que la ligne se brisait et que le chef faisait pivoter le groupe central vers la droite. À six km de là, il y avait l'autoroute, et ses morts vivants coincés dans un bouchon et des séries de carambolages. C'était l'enclume. Le marteau, c'était la Horde derrière eux. Fatalement, les zombies, reviendraient sur la plaine, et finiraient dans la carrière. Il suffisait de fermer le pont levis qu'Ernesto avait électrifié, et ils constitueraient notre piétaille. C'était aisé de se défendre, mais cela voulait dire rester petit. Ne pas s'étendre dans l'espace. Nous n'allions jamais cultiver la plaine. Notre univers se résumait à un km carré. Je descendis vers les autres en bas, suivi de Kévin. J'allais à la porte où les survivantes de nos voisins pleuraient dans les bras de Maria ,Sara et maman, dont je soulignais la désobéissance. Farida me dit que c'était elle qui avait demandé à maman de venir, pour consoler et rassurer la petite. Je hochais la tête. La petite savait ce qu'il lui en coûterait . Et maman aurait une sodo sans préparation. Je ne pouvais pas permettre le moindre écart. À l'abri derrière nos murs et nos pièges, la discipline aurait pu avoir tendance à se relâcher. Maria serra la petite fille dans ses bras. Elle était un peu plus jeune que Farida et Margot , et manifestement traumatisée. La femme était une brune ,et sa vaste robe ne permettait pas de juger son corps. Elle semblait un peu maigre, avec des ...
    ... hanches étroites. Son cul était un peu plat. Mais cela ferait de la viande fraîche. Mes femmes étaient trop habituées à mon autorité. Cette soumission était positive, mais pas tant que ça, ça manquait de piquant. Elle n'était pas la mère de la gosse. Séverine regardait les femmes nues avec des sandales les entourer avec surprise. Je les conduisis à la petite maison pour les visiteurs. Cette maison était ceinte d'une haie d'épineux absolument redoutables. Je ne voulais pas qu'elles circulent dans le hameau. La porte était en fer, avec des pointes au dessus du battant. C'était une prison, avec l'eau, l'électricité et tout le nécessaire. Séverine poussa Fanny dans la maison en se confondant en remerciements. Le lendemain matin, j'étais avec Kévin et Christelle quand les survivants qui s'étaient cachés se relevèrent. Ils avaient déployé des couvertures sur leurs trous. C'était un garçon et une fille, très jeunes. Notre attaque les prit complètement par surprise.
    
    Le soir venu, alors que les zombies pullulaient à nouveau dans la plaine, je me mis au dessus du trou où patientait la fille. Elle était nue, et accrochée bras en l'air dans un puisard de deux mètres cinquante. J'attirais son attention par un petit sifflement. Elle leva les yeux. Elle portait une courte crête blonde. Sa chatte était rasée. Elle avait peur. Je fis glisser l'échelle et la tirais vers moi.
    
    Elle était grande, avec un anneau dans le téton gauche.
    
    -Qu'est-ce que vous allez faire? Demanda-t'elle.
    
    -Ça ...
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