1. Mon Apocalypse à Moi 10


    Datte: 05/04/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

    ... dépendra de toi. Répondis-je. Mais ça va être dur.
    
    Elle fixa ses pieds nus et sales. Je la remis à Priscilla pour qu' elle la passe au jet. Maria l'examina ensuite à la recherche de maladies. Puis je l'attachais par les poings et les chevilles à un anneau scellé dans la terrasse. Ernesto amenait le garçon. Il avait un type métis et devait sortir de ces creusets de populations multiples propres à la banlieue parisienne. Ses cheveux courts étaient frisés et sa barbe rasée de frais bleuissait ses joues. Il avait le teint mat et un visage un peu ingrat. Lui aussi passa au jet, à l'examen, et attaché à un autre anneau, reprenait de l'assurance. Je m'installais sur une chaise et appelait Farida. La petite vint.
    
    -Tu as désobéi. Dis-je.
    
    Elle hocha la tête.
    
    -Viens là.
    
    Elle se plaça en travers de mes genoux. Séverine, qui était là aussi voulut dire quelque chose, mais maman l'arrêta d'un geste.
    
    Je relevais la robe de la petite, et fit siffler ma badine. Les petites fesses nue de la petite cheftaine de la maison se couvrirent de chair de poule. Au premier coup, elle gémit et se mit à pleurer. Au quatrième, elle supplia. J'allais jusqu'à dix. Puis, avec tendresse, je la relevais et l'embrassais. Je dis l'importance de l'obéissance, mais je lui dis aussi qu'elle avait eu une bonne initiative. C'était pour cela que j'avais retenu les coups. Elle me remercia. Je la remis à Christelle pour qu'elle aille adoucir le feu de mes coups avec des glaçons. Je me tournais vers les ...
    ... deux voisines qui avaient échappées à la bande des pillards .
    
    -Vous les reconnaissez?
    
    Fanny regardait le jeune barbare avec effroi.
    
    -C'est lui qui m'a fait mal, là. Dit elle en montrant ses fesses à travers sa robe.
    
    -Bien, il est à vous, Séverine et Fanny. Que voulez-vous qu'on lui fasse?
    
    -Je veux qu'il crève, mais qu'il souffre avant. Dit Séverine. Vous devriez le battre avec votre cravache.
    
    -Non, répondis-je, ma badine est un outil clément de maintien de l'ordre.
    
    Le gamin perdu ne broncha pas quand je fis claquer le fouet à côté de lui. Il endura les dix premières zébrures sur son dos sans presque broncher. Je sentis un relâchement dans son corps, pendu les deux poignets liés en croix quand Ernesto me toucha la main. Je le regardais et il fit passer son majeur gauche dans le rond formé par son index et son pouce droit. Je souris et acquiesçais. Le jeune brigand se débattit quand Ernesto le tira en arrière, et encore plus quand celui-ci força ses reins. Le portugais le prenait comme un soudard, alors que je connaissais la délicatesse dont il pouvait faire preuve. C'était réellement très impressionnant. Le gars gémissait d'humiliation. Quand du sperme tâché de merde commença à lui couler entre les jambes, je donnais le fouet à Séverine. Bientôt, le prisonnier eut le dos ensanglanté et la peau arrachée.
    
    Je le sortais de son inconscience en lui passant le fouet électrique sur les testicules.
    
    -Tu as quelques chose à dire?
    
    -Elle, dit-il, en montrant ...
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