La randonnée - Histoires de Sexe

La randonnée

... balançaient doucement et pointaient. Cela éloigna mes idées sombres…

Comme toujours, elle marchait tête haute, mignonne comme tout, à peine maquillée et j’allais la baiser. Yes !

— Pis, Paul, rassure-moi. Tu l’as fourrée, ma belle grande nièce ? Elle t’a sauté dessus ?
— Oui ! fis-je fièrement en déglutissant tout en me frottant le derrière de la tête où j’avais encore une petite bosse.

Elle sourit en me regardant.

— Good. Ça prouve qu’elle t’aime bien !
— Ah oui !
— Hum, elle est dure à étendre, celle-là, je te jure. Y en a une mauditegagne qui se sont essayés tu t’en doutes. Mais t’es en plein son genre et à moi aussi.
— Oh, donc si on se trouve un petit endroit tranquille… On baise comme des bêtes, ma belle Pierrette ?

Ses beaux grands yeux se fermèrent de moitié en louchant vers moi.

— Hum, absolument, mon petit Paul ! Pis cette fois, Marie ne sera pas là pour…

La mer… qu’on voit danser le long des golfes clairs…

On stoppa.

— C’est mon téléphone, fit-elle en ouvrant son sac à dos.

Elle sortit son petit appareil qu’elle avait soigneusement emballé dans un sac hermétique, comme je le lui avais suggéré, même si son sac à dos tout comme le mien était en principe étanche. Elle l’ouvrit et je vis une jolie photo de Marie.

— Oui ! Marie… Ah oui… T’es où ? Hein… Ben oui, vers le lac juste à côté… OK…

Gros soupir en rangeant son téléphone.

— C’est Marie ? demandai-je.
— Ouais, elle arrive.
— Pardon !
— Ouais, elle…
— Salut les ...

... amoureux.

On se retourna tous les deux d’un seul bloc. C’était elle qui s’en venait et complètement nue, sauf des sandales aux pieds avec un petit sac à dos à l’épaule et elle y rangeait son téléphone. Elle pencha la tête en nous apercevant et parut étonnée de nous voir. Moi, je fixais ses seins qui se baladaient joliment, sans parler de son déhanchement, ni de ses longues jambes, ni de sa jolie trace de bikini bien visible.

Gros soupir.

— Ce n’est pas une marche nu-fesses en principe ? demanda-t-elle une fois devant nous, en rajustant son sac à dos.

Ses longs cheveux gonflés glissaient sur ses épaules et elle s’était débarrassée de toute trace de maquillage.

J’avais des chaleurs et Marie aussi, elle rougissait.

— Ouais, mais on a un petit bout à marcher dans le chemin, répondis-je.
— Merde ! Je n’ai même pas pensé à amener mon maillot, j’étais trop pressée de vous rattraper. J’ai pris une chance en venant par ici.
— C’est pas grave, fit Pierrette en se débarrassant de sa camisole pis du reste, on va se mettre tout nus aussi, si quelqu’un vient on va l’entendre de loin.
— OK ! fis-je ravi en me déshabillant à mon tour, ressentant déjà plein de petits frétillements dans le bas-ventre.

Gros sourires des filles en apercevant mon sexe qui s’élevait par à-coups. On fourra nos vêtements dans nos sacs et on repartit avec juste nos chaussures. Je marchais fièrement entre les deux et elles regardaient ma bite en pleine érection à présent qui sursautait gaiement. Un ...