1. La randonnée


    Datte: 04/04/2021, Catégories: frousses, vacances, bain, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Humour québec, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... doucement bouche entrouverte ou serre les dents quand je lui tape les fesses les faisant rebondir joliment. Celles-ci rougissent peu à peu et Marie semble vraiment apprécier en lâchant des petits gémissements timides qui se perdent dans la nuit.
    
    Sa peau est si pâle qu’elle me fascine, elle semble produire sa propre lumière sous le clair de lune, une vraie déesse avec ses cheveux cuivrés qui cachent en partie son beau visage grimaçant.
    
    Je regarde mon sexe luisant de déjections vaginales aller et venir dans sa fente si humide que l’intérieur de ses longues cuisses en est tout imprégné.
    
    Le bruit de mon ventre heurtant ses fesses se fait de plus en plus fort tandis que je la pénètre avec plus de vigueur. Mes couilles se balancent, mes fesses se resserrent et je ravale ma salive en grimaçant moi aussi, laissant mes mains courir sur son dos, ses hanches et son cul. Je ne me lasse pas de caresser son corps magnifique.
    
    Elle crie maintenant son plaisir, sans retenue, et ça résonne au loin dans la forêt sombre.
    
    Mais son anus m’obsède, j’y enfonce mon pouce profondément après l’avoir enduit de salive, elle râle et grimace, je l’agite, le tourne, le fais aller et venir contre ma bite qui suit le mouvement. Gros soupir.
    
    Fiévreux je m’imagine dans quelques semaines la revoir animer le bulletin de nouvelles en me disant… « Ouais, je l’ai bien baisée celle-là et je l’ai même enculée, la belle Marie Lemieux. »
    
    Je sens comme une vague de chaleur m’envahir en laissant ...
    ... l’anus repousser mon pouce, elle semble déçue ou je l’imagine. Mais mes pulsions me contrôlent, c’est comme une fièvre.
    
    Je sors ma bite du vagin, j’ouvre son petit trou avec mes pouces, crache dedans plusieurs fois et y pousse mon gland en tenant fermement ma hampe. Elle ne dit rien, me laisse faire et pince les lèvres simplement les yeux toujours fermés.
    
    Je fixe mon gland en forme de cloche qui se compresse et s’enfonce peu à peu entre les fesses tandis que l’anus se dilate. Une fois qu’il est à l’intérieur, je recrache sur ma hampe qui entre centimètre par centimètre en elle. Je ressens un fort sentiment de puissance à enculer une des plus belles femmes du Québec.
    
    Je m’enfonce dans le cul jusqu’aux couilles tout doucement en la sentant frémir et soupirer. Marie ne dit toujours rien, bouche ouverte à présent, décroisant les bras et les allongeant pour se retenir au rebord de la table. Mes mains agrippent ses seins écrasés sous elle et qui débordent, je les lui caresse un moment avant de m’accrocher à ses épaules et je me mets à l’enculer, lentement au début, laissant à l’anus le temps de se dilater complètement, puis avec plus de force, fiévreux, les yeux fous avec un sourire de dément sous la lune.
    
    C’est étroit, bien serré, chaud et bandant à mort d’enculer Miss-Nouvelles. Mes couilles frappent son con détrempé avec force rajoutant à mon plaisir. Elle recommence à gémir en glissant un bras sous elle pour se masturber. Puis elle lâche tout bas des « Ah ! Oui… Hum… ...
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