1. La randonnée


    Datte: 04/04/2021, Catégories: frousses, vacances, bain, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Humour québec, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... magnifique. Moi et les filles, on observait un silence quasi religieux comme si on découvrait un Nouveau Monde, tandis qu’une envolée de corbeaux planait haut dans le ciel limpide. Quand on passait à l’ombre de gros arbres, l’air devenait plus frais et les seins des filles se couvraient de grosse chair de poule.
    
    Un moment donné, Marie stoppa devant moi, jambes écartées, et se plia en deux comme seule une fille peut le faire pour prendre un peu d’eau dans ses mains et se laver le visage. J’eus une vue imprenable sur l’anus plissé et le sexe ovale juste en dessous entouré de jolis poils noirs, avec ses belles grandes lèvres brunes et les petites plus pâles et luisantes. Wow !
    
    Je déglutis, ressentant une envie furieuse de la prendre comme ça et en levant les yeux, je vis Pierrette qui me regardait tout sourire.
    
    — C’est beau dans le coin, hein Paul ?
    — Hum ! Ben beau !
    — Ça fait du bien ! fit Marie en se relevant.
    
    On reprit la route et je me disais qu’il n’y avait rien de plus beau au monde que le spectacle de deux jolies filles nues marchant en forêt. Enfin, pour un homme, et je remerciai nos lointains ancêtres qui avaient tant couru derrière des antilopes jusqu’à les faire tomber d’épuisement pour ensuite les dévorer. Eh oui, c’était pour cela que peu à peu on avait perdu, en grande partie, la belle fourrure qui nous recouvrait, nous, les grands primates humains. Juste pour pouvoir courir plus longtemps lors de la chasse. C’était grâce à eux que j’avais une si ...
    ... belle vue en ce moment.
    
    La rivière grimpait doucement, l’eau tiède nous chatouillant les chevilles. On contourna de gros rochers, passa sous d’immenses branches de sapin qui s’étiraient jusqu’à toucher l’eau et soudain on eut un aperçu du paradis.
    
    — Wow ! fit Marie.
    — Génial ! lâchai-je.
    — Cool ! s’exclama Pierrette. Il y a même une cabane.
    
    La chute était plutôt une grande cascade bruyante, d’une centaine de pieds de long qui se jetait dans un immense bassin au fond sableux entouré d’une belle plage jusqu’aux arbres sur la droite. L’eau se déversait sur la gauche où l’on était, là le rebord était escarpé et surélevé d’une bonne dizaine de pieds jusqu’à la forêt. Mais on pouvait quand même apercevoir un peu en retrait, un ancien camp en bois rond délavé par le temps, tout gris à présent, mais qui semblait encore solide. Un gros panache d’orignal blanchi était cloué au-dessus de la porte, un classique.
    
    Un quai avait été construit autrefois tout près de nous, mais il avait sans doute été emporté par l’eau. Il ne restait que quelques poteaux toutcroches et un vieil escalier pour grimper là-haut. On y monta prudemment, une fois sur le terrain, la vue sur le bassin et la cascade était superbe. Il y avait une table de pique-nique aussi en bois rond fait main et terni, mais encore bien solide. On y posa nos sacs et on s’y assit pour reposer nos mollets douloureux et boire de l’eau. Les filles, couvertes de boue séchée, semblaient sortir tout droit de la guerre du feu, moi ...