1. La randonnée


    Datte: 04/04/2021, Catégories: frousses, vacances, bain, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Humour québec, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... notre souffle un moment.
    
    — Pourquoi est-ce qu’on n’est pas passés par le bois, Paul ? demanda Marie en me fixant avec un sourire étrange.
    — Eh ! Suzanne m’avait dit qu’il fallait suivre le ruisseau, alors…
    — C’est pas grave, on continue, ordonna Pierrette qui s’amusait toujours autant.
    — Y a même pas assez d’eau pour se laver ! releva Marie en se remettant en route en enlevant encore de la boue de ses bras.
    
    Je faillis leur parler d’un documentaire fabuleux sur les parasites qui se comptaient par milliers dans la boue et les marécages de nos belles forêts, mais… mon petit doigt me disait que ce n’était pas vraiment le bon moment et j’étais trop occupé à regarder leurs belles fesses travailler.
    
    Plus on avançait et s’enfonçait dans la forêt, plus j’avais l’impression qu’on reculait dans le temps. Ici aussi il y avait partout des branches cassées, des arbres déracinés qu’il fallait enjamber prudemment quand ils étaient en travers du ruisseau. Mais c’était calme, apaisant et…
    
    Pierrette hurla.
    
    — Seigneur ! lâcha-t-elle.
    — Quoi ? fit Marie.
    — Ah, c’est juste une petite truite, je pensais que c’était une anguille. Regarde-la, entre les roches, estcute.
    — Il n’y a pas d’anguille dans ces petites rivières-là, me sentis-je obligé de spécifier. En fait…
    — Ben oui, est cute ! fit Marie sans m’écouter.
    
    Gros soupir en penchant la tête. Ma vertèbre craqua. Outch !
    
    Resté derrière, je regardais émerveillé les deux filles pliées en deux, regardant une truite. Wow ...
    ... !
    
    Ma bite qui avait ramolli en cours de route se relevait doucement tandis que je fixais leur sexe. Elles étaient cul contre cul, seins pendants, mains sur les genoux, quel merveilleux spectacle et que je ne pouvais pas, malheureusement, immortaliser !
    
    — Regarde, Paul, si est belle, me dit Marie en tournant la tête vers moi. OK, fit-elle en se redressant. Je pense que notre guide devrait passer en avant, Pierrette.
    — Ouais, les truites l’intéressent pas, en tout cas pas celles qui sont dans le ruisseau, ma grande.
    
    Fou rire.
    
    — Bon, fit Marie, allez Paul, en avant, qu’on se rince l’œil, nous autres aussi.
    
    Je soupirai en les devançant…
    
    — Oh que c’est cute, hein Marie ?
    — Ouais, beau petit cul.
    — Non, les bébés truites, regarde…
    — Où ?
    — Là…
    — Ah, ben oui,des ménés.
    
    Je me retournai et eus droit au même spectacle. Ah, les filles !
    
    On arriva à l’embouchure du ruisseau trente minutes plus tard. Il provenait d’une petite rivière de roches au courant plus rapide, mais pas tellement plus profonde, qu’on entreprit de remonter prudemment pour ne pas glisser et se renverser un pied.
    
    On avançait tous les trois côte à côte à présent et on entendait la chute. Encore un grondement lointain, mais ça s’amplifiait.
    
    Ici, la forêt semblait plus ancienne, plus sombre, les sapins et les épinettes étaient plus hauts et plus massifs. De chaque côté de la rivière, de grosses roches rondes étaient recouvertes de mousses vertes, un vrai tapis de mini-golf. C’était ...
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