1. La randonnée


    Datte: 04/04/2021, Catégories: frousses, vacances, bain, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Humour québec, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... Les rebords étaient trop glissants.
    
    — Un autre YouTube, ma grande ! dit Pierrette amusée, bras levés comme un funambule, peinant à garder son équilibre.
    
    Je partis à rire, elle aussi et les véhicules approchaient tandis qu’on faisait quasiment du sur-place.
    
    — Ah non, fit Marie. Ciboire ! Y vont s’arrêter c’est certain pour me regarder le cul pis filmer ça. Marie Lemieux nue fesse dans un ruisseau, je vais en entendre parler longtemps.
    — Merci pour le mien, fit Pierrette.
    
    Le convoi était si près qu’on ne s’entendait plus.
    
    Et là, j’eus un éclair de génie et sans hésiter, je poussai les filles.
    
    Des hurlements et… oups… Disparues les deux rousses, sauf deux belles paires de fesses toutes blanches se démarquant de l’eau noire puis des jambes et des bras qui s’agitaient tandis que trois grospick-up passaient à vive allure. Personne ne regarda vers le ruisseau. C’était bien les bûcherons.
    
    Hi ! Popa allait se faire sermonner, je devais me préparer un pieux mensonge.
    
    Je les aidai à se relever, elles étaient recouvertes d’une épaisse boue noire et d’herbes, sans parler de leurs cheveux gluants plaqués sur leur visage, on aurait dit les survivantes d’un tsunami. Je les regardai se dégager les yeux et cracher, puis se nettoyer les seins dont les pointes avaient subitement gonflé puis le ventre et les bras.
    
    Wow !
    
    Leurs petits yeux tout blancs me fixant méchamment.
    
    — J’ai eu une bonne idée, hein les filles, dis-je joyeusement, fier de moi. Personne ne ...
    ... vous a vues, enfin, sauf les fesses. Mais ils n’ont pas stoppé, grâce à moi, je leur ai fait mes gros yeux méchants.
    — Sacrement ! lâcha Marie en crachant tout en se vidant les oreilles avec les doigts. On dirait que je suis revenue à Fort Boyard.
    — Ouais, c’était une bonne idée, Paul ! fit Pierrette en retirant encore de longs filaments d’herbe de ses cheveux. Ouais, vraiment.
    
    Marie me regarda en souriant, ses belles dents paraissant dix fois plus blanches qu’à l’habitude, elle me souriait même un peu trop joliment, et vlan ! Elle me poussa à deux mains et je disparus dans l’eau sur le dos. Il y avait que mon petit périscope qui dépassait du jus noir, je le sentis très bien. Je sentis aussi très bien la tape que lui donna Marie. Ça me résonna jusqu’à l’anus.
    
    Elles riaient toutes les deux comme des folles quand j’en ressortis en crachant, moi avec.
    
    — C’est l’aventure ! fit Pierrette en repartant. J’aime ça ! avoua-t-elle avec entrain.
    — Une petite marche tranquille hein ? lâcha Marie en la suivant.
    
    Je penchai la tête d’un bord et de l’autre pour me vider les oreilles à mon tour en repartant en me frottant la bite qui m’élançait. Ce fut pénible jusqu’au détour, sans parler des longues fougères qui nous chatouillaient les épaules et le visage. Mais la vue était belle devant moi. Hum ! Vraiment. Deux belles femmes nues couvertes de boue peinant à avancer dans ce petit ruisseau.
    
    Peu à peu on marcha sur de la roche et du sable puis l’eau s’éclaircit.
    
    On reprit ...
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