1. La filière bulgare 01 : Vendu


    Datte: 03/04/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Amusonsnous, Source: Hds

    ... congé. Donc Lundi prochain.
    
    Je restai deux jours dans cette cellule sans autre visite que celles d’une fille chargée de me nourrir et de m’abreuver.
    
    Le vendredi, les deux molosses virent me chercher. Je fus menotté et entravé par une chaîne assez courte rendant la marche difficile. Les filles en profitèrent pour me pousser, me faire tomber, puis me traîner.
    
    Je fus conduis dans ce qui ressemblait à une immense salle de douches très bien équipée.
    
    Deux jeunes filles attendaient la livraison.
    
    - Ce n’est pas très malin. Il avait déjà les poignets et les chevilles abîmés. Maintenant les genoux et les coudes. Démonia sera furieuse.
    
    Je fus détaché mais mes gardiennes se postèrent de part et d’autre de la porte, seule issue permettant de sortir de la pièce.
    
    - Nous allons vous préparer.
    
    Je tentai d’objecter que je pouvais me doucher seul mais il me fut répondu que cela serait fait par elles avec ou sans mon consentement.
    
    Elles commencèrent par m’enduire complètement de crème épilatoire et attendirent 5 minutes que celle-ci fasse son effet.
    
    Il me fut ensuite ordonné de me mettre à quatre pattes. Une des jeunes filles m’introduisit la douche anale et ouvrit correctement le robinet. Le débit et la température étaient bons. Il ne s’agissait pas d’une torture. L’eau colorée puis de plus en plus claire ruisselait entre mes mains pour s’évacuer dans la crépine. Il me fut ensuite d’ordonné de m‘asseoir sur un WC et d’évacuer toute l’eau possible.
    
    Les deux ...
    ... jeunes me lavèrent et je me retrouvai propre mais sans plus un poil ou un cheveu.
    
    Elles m’essuyèrent et me parfumèrent.
    
    Elles ordonnèrent ensuite à mes gardiennes de m’emmener à la salle de briefing.
    
    Je fus menotté mais plus entravé cette fois.
    
    Nous nous retrouvâmes, 15 hommes nus, et après quelques minutes une femme très autoritaire fit son entrée.
    
    - Je suis Démonia et je suis vous Maîtresse.
    
    Elle s’appelle autant Démonia que je m’appelle Jésus pensai-je.
    
    - Vous allez effectuer votre premier service. Vous officierez nus et le public ne comprendra que des femmes. Vous servirez boissons et canapés. Vous ne parlerez pas, d’ailleurs, vous serez bâillonnés. Vous vous prêterez à toutes les demandes de mes hôtes sans restriction. Toute désobéissance sera punie d’une peine allant de 50 coups de fouet à la mort suivant sa gravité. C’est compris ?
    
    Un « Oui Madame » général retentit. Nous étions tous dressés.
    
    Nous reçûmes un petit tablier blanc type soubrette qui relevait plutôt du cache-sexe et fûmes conduits à l’office ou notre travail débuta.
    
    Le traditionnel bâillon avec gode souple mais suffisamment long que pour nous plonger dans la gorge nous fut placé. Nous ne pouvions plus que respirer par le nez et ne pouvions émettre le moindre son. Le dressage nous avait habitué à supporter celui-ci. Il nous était seulement impossible d’avaler notre salive qui nous dégoulinait du coin de la bouche sur le cou, le torse et les jambes quand ce n’était pas sur le sexe ...
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