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La filière bulgare 01 : Vendu
Datte: 03/04/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Amusonsnous, Source: Hds
... compris. Elle repris sa besogne pour son propre plaisir pendant que l’autre introduisit et ressorti son vibro de sa chatte. Je sentais les odeurs agréables de leur sexe dans cet espace confiné. Dans des longs soupirs, sa copine exprima son orgasme. Je sentis sa mouille qui me coulait entre les fesses. - On le fait juter ? - Ouais ! On verra le temps qu’il lui faudra pour recharger. Elle recommença une folle cavalcade. Quand je pensais que j’etais enlevé et détenu, je m’en voulais d’avoir si bon pour le moment. Elle continua pendant cinq bonnes minutes sans que je ne puisse éjaculer. - Finis-le à la main ! lui dit sa copine avec de grogner un orgasme terrible qui lui révulsa les yeux. Elle se souleva et pris place à côté de la banquette, retira le préservatif qui était toujours sur ma queue et commenca à me branler consciencieusement. Voyant que je résistais toujours, elle m’introduisit un doit dans le cul et accompagna son travail d’un massage de la prostate comme pas possible. Comme les choses n’allant pas assez vite, l’autre vint. - Je vais l’étouffer. Ça les fait gicler rapidement. Je connais le truc. D’autres femmes me l’on déjà fait. - Quand tu auras éjaculé, tu pourras respirer. Elle s’assit sur mon visage et engouffra bouche bâillonnée et nez dans sa chatte. Je me concentrai afin d’éjaculer le plus vite possible mais je n’y arriveai pas assez vite. Je fus en panique complète et sentis que j’allais perdre conscience. J’entendis de ...
... très loin. - Voilà ! Ce n’était pas si compliqué que cela. Je respirai lentement en reprenant mes esprits puis de plus en plus profondément. - Putain ! Il y en a ! La fille continuait à me branler, très agréablement, afin de me vider le plus complètement possible. - Ménage ! Elles sortirent de l’eau du savon et en quelques minutes les traces de notre activité avaient disparu. Elles me demandèrent si je voulais « faire pipi » me présentant un urinal. Je leur fis un signe de tête afin d’indiquer que, vu mon érection, cela n’était pas actuellement possible. Je fus effectivement emmené à Sorafovo en Bulgarie sur la côte de la Mer Noire. Le voyage dura plus de 24 heures durant lesquelles j’eu droit à un sandwich au fromage et une bouteille de 33 cl d’eau. J’arrivai les poignets et les chevilles complètement meurtris pas les chocs imprimés par le véhicule cahotant sur de mauvaises routes. Je fus sorti de celui-ci dans un immense entrepôt, descendu plusieurs étages sous terre, enchaîné par un anneau autour du cou dans une cellule comportant une couchette, un verre, une cruche d’eau et un WC. A peine enfermé, la lumière fut remplacée par un éclairage rouge comme dans les sous-marins la nuit. Il devait, en effet faire nuit mais cela faisait près de trois semaines que je n’avais plus vu la lumière du jour, 19 jours exactement depuis mon enlèvement. Après 24 jours, ma disparition pourrait être constatée par mon absence au travail après mes trois semaines de ...