La filière bulgare 01 : Vendu - Histoires de Sexe

La filière bulgare 01 : Vendu

C’était le moment.

J’étais nu, les mains menottées derrière le dos, encadré par deux filles au gabarit de catcheuse à côté desquelles, malgré mes 110 kilos et ma stature athlétique, j’avais l’air d’un gringalet.

Mon sexe était enfermé dans une cage de chasteté en acier chromé et une cape en soie noir liserée de rouge était jetée sur mes épaules. Un bâillon avec gode, introduit dans ma bouche, me rendait complètement muet.

La porte s’ouvrit et les deux molosses me saisirent par les bras afin de me diriger vers le milieu de ce qui ressemblait à un ring de boxe mais sans toutefois être surélevé. Les gradins étaient occupés par des femmes typées BCBG.

Les menottes me furent enlevées pour m’attacher à un appareillage tombant des hauteurs. Mes chevilles furent également fixées au sol par un dispositif semblable. J’avais les jambes très écartées. Un bruit de mécanique se fit entendre en je fus soulevé du sol et mis en tension.

J’étais incapable du moindre mouvement mais pas angoissé. Mon dressage, dont je parlerai plus tard, m’avait appris à accepter, voire apprécier, cette situation.

Je savais que le but était de permettre l’accès à toutes les parties de mon corps sans que je ne puisse y opposer la moindre résistance.

Une voix féminine mais autoritaire commença à commenter l’article.

- Et maintenant Mesdames, une belle bête. Celle-ci est une vraie cathédrale de muscles que nous avons parfaitement dressée pour vous. Exempt de toute maladie, certificats à ...

... l’appuis.

Une grande femme mince s’avança vers moi et retira la cape qui me couvrait.

Ma nudité provoqua les applaudissements du public exclusivement féminin.

- Que les enchérisseuses qui le désirent viennent tâter la marchandise.

Une vingtaine de dames très chiquement vêtues s’approchèrent. Elles commencèrent par me tâter les épaules, puis les seins qu’elles pincèrent et tordirent pour leur plus grande satisfaction. Ce fut au tour de mes biceps, puis de mes abdominaux. Elles remontèrent ensuite par mes mollets, mes cuisses et mes fesses.

Puis, comme je m’y attendais, j’eus droit à des nombreuses et profondes explorations de mon fondement.

J’avais, fort heureusement, été préparé par les filles. Après une abondante douche anale, elles m’avaient instillé de la vaseline dans le rectum ce qui me permis de ne pas souffrir de ces intrusions.

Elles manipulèrent ensuite ma cage de chasteté que mon érection poussait au bout de mon sexe en tirant sur mes bourses. Dans la journée, mes gardiennes étaient, à deux reprises, venues changer l’anneau initial de celle-ci par de plus étroits. Lors de mon « habillage » qui avait consisté à me poser la cage citée juste avant la vente, elles posèrent le tube. Pour ce faire, elles me décalottèrent le gland et m’enduisirent le sexe de gel lubrifiant. Elles s’amusèrent à faire des vas et vient de ma queue dans le tube afin de provoquer mon érection. Une fois que celle-ci leur convient, elles comprimèrent fortement ma queue en fixant ...