1. La filière bulgare 01 : Vendu


    Datte: 03/04/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Amusonsnous, Source: Hds

    ... cœur, elles se répondirent : « Quand on tient un homme par les couilles, on peut lui faire faire tout ce que l’on veut. »
    
    Elles commencèrent par détacher la barre d’écartement à laquelle mes chevilles étaient fixées de sous le siège pour l’attacher au-dessus du siège opposé. Je suis pendu par les quatre membres. Elles prirent une ficelle qu’elles mirent en double sur une partie de sa longueur, firent une boucle coulante qu’elles me passèrent autour des couilles. Puis elles ajoutèrent plusieurs tours et terminèrent par un double nœud. Elles passèrent ensuite le long brin par l’interstice au milieu de la banquette. Je compris. J’allais être fixé à celle-ci sans possibilité de leur jouer un mauvais tour.
    
    Effectivement, l’une d’elles détacha mes chevilles du châssis sans toutefois enlever la fixation à la barre d’écartement. Elle me détacha une main pendant que l’autre tirait sur la corde afin de me faire sentir que j’étais maitrisé. Les deux mains détachées, je fus allongé sur la banquette puis elles me menottèrent les mains sous celle-ci. Elles me détachèrent de la barre d’écartement et me fixèrent les chevilles au plancher, de part et d’autre de la banquette, avec des chaînes et manilles.
    
    Pendant que l’une de mes tortionnaires me faisait sentir son pouvoir en tirant sur la corde qui me fixait à la banquette, l’autre se déshabilla. Finalement, elle était de très grande taille mais parfaitement proportionnée.
    
    En d’autres circonstances, ça ne devait pas être ...
    ... désagréable d’avoir une relation sexuelle avec une femme pareille.
    
    Elle sorti un préservatif de son emballage et l’enfila sur ma queue toujours aussi droite. Elle s’empala sur celle-ci avec un grand soupir d’aise.
    
    - Oh ! Putain. C’est un bon.
    
    Elle commença de lents mouvements et je me sentis gobé de plus en plus profondément par son sexe bien mouillé. Comme elle était musclée elle s’amusa à se contracter et se relâcher sur ma queue.
    
    - C’est bon, hein, cochon !
    
    - Je lâchai un « Oui, Madame » dans un soupir que je ne pus contenir.
    
    L’autre dit : « Je vais le bâillonner. On ne sait jamais. »
    
    Elle prit dans un sac ce que je reconnu être un bâillon avec gode de 10 cm, me l’enfonca dans la gorge et l’attacha très serré. Je pus plus émettre le moindre son.
    
    Je vis la deuxième fille de déshabiller. Même corps parfait que l’autre avec des seins abondants qui se balancaient naturellement. Elle sorti un vibro de point G qu’elle activa et commenca à se le passer sur les lèvres et le clitoris.
    
    Celle qui me chevauchait poursuivi son œuvre. Elle me pinca le nez pour m’étouffer. Après 20 secondes, je manquai d’air. 30 secondes je paniquai. Je m’agitai pour lui faire comprendre car je savais être trop bien contraint que pour me libérer. De plus la corde fixant mes couilles restreignait considérablement mes manifestations.
    
    Elle me laissa respirer.
    
    - Tu vois, si je veux, tu meurs. N’oublie jamais que tu es un sex-toy.
    
    J’opinai du chef pour lui indiquer que j’avais bien ...
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