1. La filière bulgare 01 : Vendu


    Datte: 03/04/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Amusonsnous, Source: Hds

    ... le tube à son anneau. Je débandai rapidement. Puis, comme pour me contrarier, j’eu droit à une piqure dans les corps caverneux. Dix minutes plus tard, j’étais affublé d’une érection tout aussi généreuse qu’incontrôlable.
    
    Après un certain temps d’examen, la commissaire-priseuse reprit.
    
    - Je vois que ces dames désirent examiner l’ensemble trois pièces.
    
    La grande mince revint avec une clé et dégagea mon sexe de sa cage lequel explosa en se gonflant et en se dressant.
    
    Applaudissements du public.
    
    Les dames se rapprochèrent. Une d’elle, de derrière, passa ses mains autour de ma taille pour plonger et me saisir les testicules qu’elle pressa fermement. Ensuite, j’eu droit à un défilé accompagné de palpations afin, comme elles dirent, d’examiner l’engin.
    
    Mon dressage m’avait enlevé tout complexe et je trouvais même fort plaisant de me faire ainsi étudier et manipuler par une équipe de bourgeoises en goguette.
    
    Ce qui semblait particulièrement leur plaire consistait à me saisir les bourses au-dessus des testicules, de refermer l’index sur le pouce, puis les autres doigts et de tirer fermement afin de provoquer une vive douleur qui, si j’étais libre de mes mouvements, m’aurais fait manifester ma soumission. Ici et maintenant, je ne pouvais que grimacer pour exprimer celle-ci.
    
    - Mesdames, il est temps de regagner vos places, les enchères vont débuter.
    
    - La mise à prix est de 2.500,00 €.
    
    Voilà ce que je vaux pour mes ravisseurs. A diminuer du coût de mon ...
    ... dressage, il ne doit rien rester.
    
    Les enchères montent quand même pour se terminer à 25.000,00 €.
    
    Cela doit laisser une marge mais le commerce d’esclave masculins dressés n’est pas le meilleur créneau. Une soumise dressée se vend de 4 à 10 fois plus cher.
    
    250.000,00 € pour une fille dressée. L’être humain n’a pas une haute opinion de lui-même.
    
    Je fus, descendu, détaché, menotté et ramené en coulisses où l’on me retira aussi mon bâillon. Deux autres filles musclées, qui devaient dépasser 150 kilos chacune, prirent possession de l’achat de leur patronne.
    
    Je fus poussé dans une camionnette blanche et enchaîné toujours nu, bras levés et pieds entravés attachés sous la banquette disposée longitudinalement. Les deux gardiennes étaient assises en face de moi. Elles parlaient entre elles un dialecte que je reconnu comme apparenté au bulgare.
    
    J’avais toujours une érection d’enfer provoquée par l’injection faite environ 15 minutes avant la vente. De la papavérine, je suppose.
    
    Cela amusait beaucoup mes gardiennes. Elles commentaient ce que leur patronne pourrait faire de moi dans un avenir proche. Puis l’une d’elle proposa de me « sauter » pendant le voyage.
    
    - On l’attache à la banquette et on le saute en Andromaque.
    
    - Si cela se sait, on ma déguster.
    
    - Il n’y a pas communication avec la cabine. La conductrice et la convoyeuse n’entendront rien.
    
    - D’accord. Mais prenons toutes nos précautions. Vu son gabarit, il peut être dangereux.
    
    - Que dit-on ?
    
    En ...
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