1. Mon premier voyage de femme « libre »… 20° partie


    Datte: 02/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Sofie34fr, Source: Hds

    ... Cette robe était sublime. Le rouge m’allait à merveille. Je m’imaginais appliquer mon rouge à lèvres Chanel n°62 pour peaufiner l’ensemble.
    
    Noëlle se releva et se plaça derrière moi pour m’observer dans le miroir. Son corps était plaqué contre moi. Je pouvais sentir les pointes de ses seins. Ses mains se posèrent sur mes bras nus et me caressèrent pendant que nous nous observions dans le reflet du miroir.
    
    « Qu’en penses-tu ? » me chuchota-t-elle. Tu es magnifique.
    
    « Tu verras comme elle est agréable à porter. Les boutons jouent un rôle essentiel dans les jeux de séduction des femmes. Selon tu humeur, tu en ouvres un ou deux en bas pour montrer plus ou moins tes cuisses et jouer avec les caprices du vent. » Ce qu’elle fit pour accompagner son argumentation.
    
    « Tu peux également ouvrir des boutons en haut pour dégager ta poitrine qui ne mérite pas d’être enfermée. » Là, Noëlle, déboutonna totalement le haut de la robe qui n’était plus fermée que par un ou deux boutons.
    
    Elle prit mes seins en mains et m’embrassa dans le cou. Je n’osais pas bouger. Ma bouche était sèche. Je fermais les yeux. Noëlle continua à prendre possession de mon corps. Ses doigts attrapèrent mon clitoris qui explosa. Une jouissance inhabituelle, que seule une femme pouvait me donner. Je me laissais faire. Noëlle me retourna et m’embrassa. Un baiser de femme. Un baiser différent, plus tendre, plus mouillé, plus aérien. Ses mains me caressaient les fesses et ses doigts s’insinuaient ...
    ... impudiquement. Je me cambrais et m’ouvrais pour jouir de tous les plaisirs nouveaux qui s’offraient à moi. J’étais comme une poupée entre les mains diaboliques de Noëlle.
    
    Puis, me voyant hésitante, Noëlle me chuchota à l’oreille « Laisse-moi t’aimer. »
    
    « Je te sens un peu empruntée. Pour aimer une femme, tu dois mettre de côté ton logiciel homme - femme. Pense à ce qui te fait du bien, à ce que tu aimes te faire quand tu te caresses seule. Tu me sens faire et tu me fais la même chose avec ta touche personnelle. »
    
    Noëlle me prit la main et la posa sur son sein. Elle prit l’autre qu’elle appuya sur son clitoris. Un clitoris énorme, de la taille d’un petit sexe d’homme. Je m’y retrouvais !!!!
    
    Je me laissais tomber sur le fauteuil et Noëlle vint appuyer sa vulve contre ma bouche. Je glissais deux doigts dans son vagin et gobai son clitoris. Je jouais avec lui avec ma langue. Je l’aspirais, le suçais et soufflais dessus. Noëlle semblait apprécier. Je continuais.
    
    Après quelques coups de langue, Noëlle m’attrapa la tête pour accentuer la pression de ma bouche sur son clitoris et elle se cambra dans une jouissance insensée. Elle secouait ma tête pour faire monter son plaisir davantage, puis elle me pissa dessus. Enfin, c’est ce que je crus, mais j’appris par la suite qu’elle était une femme fontaine et que dans le cas de grosses jouissances, cela lui arrivait.
    
    Noëlle me releva et m’embrassa. Elle me lécha le visage mouillé. Nous nous regardâmes et nous nous mîmes à rire comme ...
«12...456...»