1. Mon premier voyage de femme « libre »… 20° partie


    Datte: 02/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Sofie34fr, Source: Hds

    ... essayages que je redoutais…
    
    « Éva, vous avez trois robes en soie sur le portant. Elles sont unies. Une classique, noire, une seconde saumon et la troisième, rouge. Cette dernière est une robe chemise. Je pense que c’est celle qui vous ira le mieux. »
    
    « On y va ? »
    
    « Oui » bafouillais-je, en me levant.
    
    « Je vais vous aider »
    
    Noëlle s’approcha de moi et m’aida à me déshabiller. Elle ne sembla pas surprise de me trouver nue. Elle semblait hypnotisée par mon corps. J’étais rouge de confusion.
    
    « Vous êtes très jolie Éva. Je vois que vous ne portez pas de sous-vêtements. Je vous imagine comme une femme « libre ». Est-ce que je me trompe ? »
    
    « Merci Noëlle. Vous êtes trop gentille. Vous avez bien vu. J’essaie effectivement de trouver ma voie et, pour cela, de tenter de sortir des ornières de l’éducation stricte que j’ai reçue et dans lesquelles j’étais toujours enfermée. Je dois vous avouer que cette semaine parisienne m’a apportée beaucoup de satisfactions et de plaisirs »
    
    « Nous allons d’abord essayer la noire. »
    
    Noëlle m’aida à l’enfiler. Ses mains étaient douces, chaleureuses et caressantes. J’en avais des frissons. Les pointes de mes seins devenaient dures. J’étais gênée car Noëlle ne pouvait pas ne pas le remarquer. La soie était tendue au niveau de ma poitrine et mes tétons pointaient.
    
    Noëlle s’appliqua à tendre la robe. Ses gestes étaient légers. Ses mains me caressaient furtivement les seins. Elle jouait avec mes sens. J’étais tétanisée. Mes ...
    ... jambes flageolaient. Noëlle s’amusait de mon émoi.
    
    « Quand penses-tu ? » me dit-elle en passant au tutoiement.
    
    « Elle est magnifique. La soie est incomparable. Mon corps semble flotter à l’intérieur. »
    
    « Passons à la suivante. La coupe est identique. Tu as la taille mannequin. »
    
    Cette fois, lors de l’échange des vêtements, les caresses se firent plus précises, sur les fesses et à l’intérieur des cuisses. L’ajustement du vêtement était prétexte à tous les attouchements. Noëlle savait y faire. Mon corps était en feu. Et pourtant, ce n’étaient que des affleurements, bien, très bien dosés. Je dus m’appuyer un moment sur le mur. Un sourire canaille illumina le visage de Noëlle.
    
    « On continue ? » murmura Noëlle à mon oreille, d’un air badin.
    
    « Oui, encore » bafouillais-je.
    
    « Maintenant la plus belle pour toi. J’en suis sûre. »
    
    Noëlle déboutonna la robe rouge pour que je puisse l’endosser. Elle m’aida à passer les bras. Ses doigts jouèrent avec mes seins. J’haletais. Ma vulve était trempée. Jamais une femme n’avait joué comme cela avec moi.
    
    Je ne bougeais plus. Je laissais Noëlle faire, comme si j’étais une poupée, sa poupée.
    
    Le reboutonnage fut plus long. Les caresses plus précises. Noëlle s’accroupit pour fermer les boutons du bas. Ses doigts flirtaient librement avec ma vulve, et taquinaient furtivement mon clito. Instinctivement, je me sentis basculer mon bassin en avant pour accentuer les pressions de Noëlle.
    
    Effectivement, Noëlle avait raison. ...
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