1. Mon premier voyage de femme « libre »… 20° partie


    Datte: 02/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Sofie34fr, Source: Hds

    Sortie dans la rue, je me dirigeais vers le métro quand j’entendis une voiture klaxonner. C’était Yves. C’était du harcèlement. Il ne voulait pas lâcher le morceau ! Mais il ne travaille pas ?
    
    Yves s’arrêta et vint me prendre la main pour me faire monter dans sa voiture. Au passage, il glissa sa main sous ma robe pour me palper les fesses le coquin. S’il voulait vérifier que je n’avais pas mis de culotte, il était servi.
    
    Une fois dans sa voiture, je lui répétais que je n’avais pas beaucoup de temps car j’avais des choses à faire pour ma dernière journée. Je lui expliquais que je devais notamment faire un tour dans un magasin de meubles originaux que je tenais absolument visiter et qui se trouvait près du Chatelet. Je souhaitais renouveler le mobilier de notre salon et si les photos que j’avais vues sur internet étaient prometteuses, je tenais absolument à les voir avant de les commander.
    
    « Pas de soucis ma belle. Je t’emmène. Cela nous permettra de passer un dernier petit moment ensemble. »
    
    Par sa conduite souple, aidée par la boite automatique, il se permettait de me caresser les cuisses et ma vulve, sans vergogne.
    
    Il m’avoua que Paul lui avait parlé d’une histoire avec une voiture, une Mini. Il voulait savoir. Il voulait que je lui raconte ce que Paul avait déjà dû lui dire à demi-mots. Je ne savais pas jusqu’où je pouvais me confier. J’avais peur qu’Yves s’excite… Mon amant ne se satisfaisait pas de ce que lui disait. Il voulait encore et encore des ...
    ... détails. Je voyais son pantalon qui se déformait au fur et à mesure que je détaillais mon aventure au garage.
    
    Simultanément, ses doigts m’endiablaient le clitoris. J’étais trempée.
    
    Nous étions proches du Chatelet, quand Yves s’engouffra dans une descente de parking pour garer sa voiture. Il trouva une place isolée et une fois garé, il se rapprocha de moi pour m’embrasser et me caresser les seins dont les tétons étaient déjà bien durs.
    
    Il sortit du véhicule et fit le tour de celui-ci pour venir de mon côté. Il me demanda de descendre, et tandis que je pensais remonter à la surface, Yves ne l’entendait pas ainsi. Il me retourna contre la portière fermée et me prit, là, debout. La pénétration soudaine et puissante de son sexe épais me fit crier. Quelle brute ! Excité de me baiser, là dans le parking, il me bourra de quelques va et vient avant de jouir. Son plaisir rapide était quelque chose de nouveau pour moi. Habituellement, il prenait son temps pour me donner le maximum de plaisir. Il se retira penaud, tout en s’excusant de l’absence de maîtrise de son éjaculation qu’il justifiait par l’état d’excitation dans lequel il était par ma faute.
    
    J’étais frustrée, mais, en même temps, fière d’avoir vaincu aussi rapidement mon amant.
    
    Yves me prit la main pour sortir du parking.
    
    Une fois à l’extérieur, je me sentais bien au bras d’Yves. Je me laissais conduire. Quelques pas plus tard, je fis remarquer à Yves, que, comme à son habitude, il avait lâché des litres de sperme et ...
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