1. Mon premier voyage de femme « libre »… 20° partie


    Datte: 02/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Sofie34fr, Source: Hds

    ... deux collégiennes. C’était trop délicieux.
    
    Noëlle m’enleva délicatement la robe et m’annonça que dans l’état où elle était, elle devenait invendable. Soit elle la jetait, soit je partais avec.
    
    Je n’hésitais pas à la garder !!!!
    
    Quant au chemisier. Je l’essayais et l’adoptais.
    
    Nous nous rhabillâmes et sortirent du salon toutes rouges.
    
    Je payais. Je remerciais chaleureusement Noëlle qui me laissa son 06.
    
    Nous nous fîmes la bise et je sortis pour retourner à la boutique homme.
    
    J’avais les jambes qui tremblaient encore, toujours chamboulée par ce qui venait de se passer.
    
    Quand j’arrivais au magasin de Gabriel, celui-ci était occupé. En attendant, je fis le tour de la surface de vente pour voir si je pouvais trouver quelque chose pour Paul. Il me restait encore de l’argent de Jeff et Antoine. Noëlle m’avait fait un super prix. Je n’oserais jamais l’avouer.
    
    J’optais pour un joli pull en cashmere noir. J’imaginais très bien mon Paul avec.
    
    Gabriel était dispo. Je payais le pull avec, encore une fois, un super prix.
    
    Gabriel me prit le bras pour m’amener à son bureau. Il fallait que je récupère mes achats précédents.
    
    « Alors, ma chère Éva. As-tu été bien conseillée par Noëlle ? Je vois que tu as un sac plein. »
    
    J’ai dû rougir en lui répondant.
    
    « Oui Gabriel. Ton amie est charmante. Nous avons rapidement sympathisé et ses choix ont été justes. Les vêtements sont très beaux. Je ne pense pas oublier de sitôt la séance d’essayage… De plus, elle m’a ...
    ... fait un super prix ! Merci pour ton aide. »
    
    « J’en suis ravi ! Assieds-toi là, le temps que je te préparer un café. »
    
    Je parlais de ma vie à Montpellier. Gabriel me raconta qu’il avait fait ses études à Montpellier et qu’il avait beaucoup apprécié la ville et son ambiance méditerranéenne très festive. Il envisageait de descendre prochainement à l’occasion du pont de la pentecôte. Tout naturellement, je lui proposais de passer à la maison, seul ou accompagné et que nous l’hébergerions avec grand plaisir.
    
    Quand je me levais pour partir, Gabriel me prit dans ses bras et m’embrassa fougueusement. Moi, qui venais à peine de revenir sur terre, voilà mon amant qui ne me laissait pas de répit.
    
    « Ne pars pas si vite. J’ai envie de toi. »
    
    Il me fit reculer vers son bureau où il m’allongea. Gabriel prit son temps pour me caresser et me lécher la vulve d’où un mélange de sperme et de mes secrétions intimes devait encore s’écouler. Sa langue agile, fouineuse, impudique et puissante m’enivrait. Je gémissais sous ses caresses.
    
    Gabriel se releva, m’embrassa pour partager nos salives, puis se redressa, défit son pantalon et me pénétra d’un coup et totalement. Ses couilles touchaient mes fesses. J’adorais cette sensation d’être possédée. Une sensation différente qu’avec Noëlle, mais tellement forte. Avec Noëlle, nous étions dans une relation d’égalité. Avec Gabriel, je me sens soumise à sa queue et aux envies de mon amant.
    
    Celui-ci ressort son sexe pour caresser mon clito ...
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