Laetitia 05 - Histoires de Sexe

Laetitia 05

... me laisser répondre, Marie-Line a continué tout en plaçant ses mains sur mes genoux et en me forçant de les écarter un peu plus.

— Cache ton sexe avec une main.

Sans hésiter et avec un peu de soulagement, j'ai placé ma main droite entre mes jambes.

— Fais pénétrer ton majeur en toi et caresse ta moule.

J'avais les yeux au sol, je regardais mes pieds et je me sentais honteuse, mais j'ai fait tout ce que Marie-Line m'a ordonné en tirant même du plaisir. Je me sentais frissonner malgré la chaleur. Barbara a repris le contrôle de la conversation.

— Bon. Je t'ai fait inviter ici parce que je voulais te parler un instant pour que tu comprennes bien qui est en contrôle ici et quelle est ta situation. Je veux que tu saches que mon mari n'est que ma marionnette. Il ne peut rien pour toi. Timéa est mon associé et maintenant ma fille l'est aussi. Obéis-nous et tout ira bien pour toi. Mais je vois que je n'ai pas besoin de te dire cela, tu veux nous obéir, n'est-ce pas? À partir de maintenant, tu travailles pour nous, tu nous appartiens. Tu seras la première protégée de Marie-Line à qui je vais apprendre mon métier.

Elle a pris une pause en regardant tendrement sa fille. Les deux ont joint leurs mains avant que Barbara ne continue.

— Demain, nous allons avoir une petite réception à la maison, tu y es invité avec ton mari et bien entendu ton fils...

Barbara a continué son monologue pendant que je regardais le bout de mes pieds et que je continuais de me caresser ...

... de plus en plus ouvertement. Malgré mon excitation grandissante, je notais mentalement toutes les instructions que Barbara me donnait. Quand elle a eu terminé, elle m'a intimé de refermer mes jambes et de porter mes doigts à ma bouche. Ils étaient luisants, couverts de ma cyprine.

Barbara et Marie-Line se sont levées et Marie-Line m'a demandé de la suivre. Elle marchait devant moi à travers la foule des buveurs de café. Barbara me suivait. Des hommes laissaient passer Marie-Line, mais me barraient le chemin, me forçant à me frotter contre eux. Ils n'hésitaient pas à laisser vagabonder leurs mains sur mes fesses. En essayant de les éviter, j'ai fait glisser le décolleté de ma tunique découvrant à nouveau mes mamelons durs. J'ai voulu les cacher, mais dès que j'ai amorcé le mouvement Barbara a pris mes poignets et elle me les a placés dans le dos.

— Tes mains sont attachées dans ton dos jusqu'à nouvel ordre.

Même si elles n'étaient pas réellement attachées je comprenais l'implication de l'ordre que venait de me donner Barbara. Il ne restait que quelques mètres qui me séparaient de la porte, mais ces mètres auraient pu être des kilomètres. J'avais l'impression d'être un pantin manipulé par Barbara sans pouvoir aucun. Pendant les prochaines secondes, mes seins ont été caressés par les hommes qui étaient entre moi et la sortie. Arrivée à l'extérieur, mes mains étaient toujours dans mon dos et mes seins complètement découverts sans que je cherche à me cacher. Je sentais mes ...