1. Laetitia 05


    Datte: 01/04/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bylapassagere, Source: Literotica

    ... douloureusement. Pendant tout ce temps, je gardais les mains sur ma tasse sans tenter de me défendre. Puis elle a pris à pleine main les rebords du décolleté de ma tunique et elle les a ramenés vers le centre cachant mes mamelons, mais pas mes aréoles entièrement. Elle a placé une main dans mon cou et elle s'est penchée un peu plus et elle a déposé un léger baiser sur mes lèvres. J'ai fermé les yeux un instant et j'ai senti sa langue caresser mes lèvres.
    
    J'ai rouvert les yeux quand sa main glissait dans mon cou et que je sentais que Marie-Line glissait vers son fauteuil.
    
    Barbara dégustait son café et Marie-Line s'est mise à en faire autant. J'étais toujours cramoisie. J'ai pris une gorgée du café en observant Barbara par-dessus ma tasse. Je ne lui avais parlé qu'une fois l'année dernière avant la fête de fin d'année organisée pour la direction de l'établissement. Fête à laquelle je n'étais pas conviée.
    
    Barbara est une très belle femme. J'imagine qu'elle approche la cinquantaine, mais elle semble en faire dix de moins. Son mari, le directeur général, a eu cinquante-cinq ans il y a un mois. C'est un homme d'une grande prestance, en grande forme et seul ses cheveux blancs trahissent vraiment son âge. Sa femme est un réel trophée. Elle est grande et mince. Elle a de longs cheveux bouclés d'un beau roux. Ses membres sont longs, minces et musclés à la fois. Sa peau est laiteuse et semble soyeuse. Elle porte une robe soleil verte coordonnée avec ses grands yeux verts. Ses ...
    ... volumineux seins ronds se tiennent bien droits devant elle. Ils sont trop droits pour être naturels. Son maquillage est léger et naturel. Elle porte des sandales à talons hauts coordonnées avec sa robe. La richesse de son apparence est frappante.
    
    — Cela te gêne de t'exhiber ainsi Laetitia, n'est-ce pas?
    
    J'étais encore cramoisie. J'ai baisé les yeux avant de lui répondre.
    
    — Oui
    
    — Écarte un peu tes cuisses, ma belle.
    
    Si c'était possible, j'avais l'impression de rougir encore plus. Je savais que le moindre écartement de mes cuisses dévoilerait mon entre-jambes. Malgré tout, en regardant mon café, j'ai écarté mes genoux de quelques centimètres. Je n'osais plus relever les yeux. J'essayais d'oublier la présence des amateurs de café qui m'entouraient.
    
    — Laetitia, regarde entre tes jambes. Ton corps te trahit, tu ne peux cacher ton excitation. Tu es comme un escargot, tu laisses ta trace sur le cuir du fauteuil.
    
    J'ai baissé les yeux et j'ai eu une vision d'horreur. J'avais en effet mouillé le fauteuil. Je l'avais tellement mouillé qu'une mince coulée de cyprine avait marqué l'avant du coussin de cuir et qu'un petit cercle foncé s'était formé sur le dessus du coussin.
    
    — Tu es gênée, mais aussi terriblement excitée n'est-ce pas?
    
    J'ai simplement balancé la tête.
    
    — Qu'est-ce qui t'excite le plus? Que tu doives te soumettre à moi et ma fille ou que tu t'exhibes?
    
    J'étais tétanisé.
    
    — C'est bien ce que je croyais, les deux à la fois, n'est-ce pas?
    
    Sans ...
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