1. Faouzia, femme flic Deuxième partie : la triste hi


    Datte: 30/03/2021, Catégories: Humour Hardcore, Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... je le sentais qui essayait d’écarter mes fesses, de soulever mes hanches, et de me mettre en position. Il me pénétra avec brutalité, sans même chercher à mouiller son sexe. Je poussais un très fort cri de douleur - j’étais vierge - mais ne protestais pas et le laisser continuer son œuvre de destruction de mon hymen.
    
    « Cela dura une éternité au cours de laquelle, il me défonça, comme cela brutalement, sans dire un mot, seulement en poussant des gémissements rauques, que je pensais être de plaisir. Quand il éjacula - à l’extérieur, probablement pour que ne tombe pas enceinte - il s’écroula sur mon dos, resta un long moment silencieux, puis fit une chose étonnante, au vu de ce qui venait de se passer : il m’embrassa sur la joue ; un baiser léger et tendre. Il s’allongea à mes côtés - moi toujours sur le ventre, le cul en l’air, la chatte ensanglantée et le dos plein de sperme - me retourna et me prit dans ses bras pour m’enlacer. Il ne dit rien pour justifier son comportement ; il se contenta de me sourire subrepticement ; un sourire que je voyais pour la première fois, tant il présentait en permanence un visage austère.
    
    « Et quand il parla, c’était pour me dire que je lui appartenais et que je devais faire absolument tout ce qu’il voulait, sans que jamais je ne me pose de questions. Et sans même réfléchir, je m’entendis lui répondre : « oui ! ». Comme si j’avais accepté le rôle d’esclave qu’il me destinait. Et en fait j’étais devenue son esclave ; je pense même l’avoir ...
    ... toujours été, au moins inconsciemment. C’était comme si cet état était naturel pour moi, qui auparavant, pensais être une femme forte, maîtresse de ma destinée.
    
    « Chaque fois que nous n’étions pas en opération, nous nous retrouvions dans l’appartement de la cité « Police » et il me prenait comme cela, toujours brutalement. J’avais même fini par aimer cette brutalité et cette manière de me faire l’amour : toujours en levrette. J’attendais impatiemment les moments d’intimité où il allait me baiser (c’était bien le mot, car il ne me faisait jamais l’amour, il me baisait !). J’avais même fini par jouir très fortement. C’était surtout dans les moments où il avait fumé plus que d’habitude, pour fuir le stress quotidien: deux ou trois joints dans la journée. A ces moments, les séances duraient plus longtemps et se répétaient : il me faisait jouir plusieurs fois comme une folle et jouissait en moi, en éjaculant des tonnes de sperme.
    
    « Durant toute la période, il n’avait jamais prononcé une phrase ou même une parole d’amour. J’étais sa chose et cela lui suffisait et…me suffisait. Une nuit, il m’avait même obligé à faire une chose que je croyais impossible : pour moi d’abord, parce que j’en avais été l’objet ; pour lui ensuite, parce que je ne le croyais pas partageur. Il avait ramené avec lui un homme, qu’il me présenta comme étant le wali (préfet) de Sidi-Bel-Abbès. Ils me trouvèrent en petite tenue, entrain de préparer le dîner du soir. J’étais gênée et je voulus passer une ...
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