1. Faouzia, femme flic Deuxième partie : la triste hi


    Datte: 30/03/2021, Catégories: Humour Hardcore, Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... longue bordée, tout ce qui me restait de sperme et que les furieux va-et-vient de mon sexe expulsèrent à l’extérieur. Fourbu, j’arrêtai le pilonnage et retirai le gourdin, maintenant totalement ramolli, et vint m’allonger à côté de Faouzia que je pris dans mes bras pour l’embrasser tendrement et lui dire encore une fois que je l’aimais et que je voulais vivre avec elle.
    
    - Je t’aime moi aussi, mais il ne faut pas tout gâcher en parlant mariage et vie commune ; ni l’un, ni l’autre ne sont possibles. Profitons des moments que la vie veut bien nous offrir et aimons-nous. Quand il faudra nous séparer, on aura au moins connu de merveilleux moments qui resteront à jamais gravés dans nos cœurs.
    
    - Tu parles trop facilement de séparation. Moi je ne te laisserais jamais partir. Je n’accepterais pas que tu me quittes, surtout pour épouser quelqu’un d’autre.
    
    Nous vécûmes ainsi pendant environ une année et demie - tout le temps que je passais à Oran pour suivre la réalisation du projet que ma société réalisait – et puis vint le moment où je devais rejoindre le siège de l’entreprise. Je demandais à Faouzia de me suivre, de démissionner et de m’épouser. Elle refusa, reprenant les mêmes arguments qu’elle ressassait depuis le début : qu’elle était obligée de vivre en milieu protégé ; qu’elle constituait un danger pour ma vie ; qu’en démissionnant, elle perdrait la protection que ...
    ... constituait son appartenance au corps de la police nationale ; que tant que l’état d’urgence continuait et que la paix totale n’était pas revenue, il n’était pas question pour elle de changer de mode de vie ; qu’elle m’aimait trop pour risquer que je sois assassiné en tant que compagnon d’une policière qui, plus est, avait été membre des brigades anti-terroristes.
    
    Il n’y avait rien à faire pour la convaincre de venir avec moi. Je quittais donc Oran - et elle, par la même occasion - un sale matin d’hiver et ne revit plus Faouzia. Elle m’appelait de temps en temps pour prendre de mes nouvelles et m’annoncer sa décision d’épouser son commissaire, qui attendait toujours qu’elle lui dise oui ! J’ai hurlé ma colère au téléphone. Je crois même que j’en ai pleuré, de rage et de désespoir ! Cela ne l’empêcha pas de se marier et, aux dernières nouvelles, elle et son mari avaient été mutés à Tamanrasset, à l’extrême sud du pays, où ils vivent une vie de couple à peu près normal. Le dernier coup de téléphone que je reçus d’elle était pour m’annoncer qu’elle allait bientôt devenir maman.
    
    - Adieu mon amour ! me dit-elle en pleurant. Prends bien soin de toi !
    
    Et depuis je n’eus plus aucune nouvelle d’elle. J’avais perdu le grand amour de ma vie. Il ne reste, pour me consoler, que les merveilleux souvenirs des moments passés ensemble, que je n’arrête pas de ressasser, jusqu’à en faire un obsession. 
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