1. Faouzia, femme flic Deuxième partie : la triste hi


    Datte: 30/03/2021, Catégories: Humour Hardcore, Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... tenue plus décente. Il refusa et je dînai avec eux en nuisette et petite culotte.
    
    « Nous prîmes le thé dans le salon. Salah me demanda alors de lui faire une pipe devant son invité. J’hésitais à faire une telle chose, mais au regard furieux qu’il me lança, je compris qu’il était très sérieux et que j’avais intérêt à obéir. Je me mis donc à genoux devant lui qui était assis sur le sofa ; j’ouvris le zip de son uniforme et mis à nu son sexe – de taille moyenne – et me mis consciencieusement à lui faire une pipe. J’avais le cul en l’air, seulement protégé par une petite culotte. Je sentis deux mains m’arracher la culotte et dénuder mes fesses. Je voulais protester, mais les mains de Salah appuyèrent sur ma nuque, pour que je ne bouge pas.
    
    « Je sentis un doigt s’insérer entre mes fesses et chercher l’anneau de mon anus. J’essayai de serrer les fesses pour empêcher les doigts d’aller plus loin. Ils insistèrent ; je sentis une bouche qui cherchait mon anus et qui cracha dessus. Quelques secondes plus tard, un sexe vint prendre la place du doigt et se placer sur l’anneau. Je savais que j’allais être enculée comme cela, sans que je l’aie voulu. Il me pénétra en force, défonçant brutalement mon anus, me faisant atrocement mal. Je crois même que la douleur m’avait fait mordre le sexe de Salah, qui était toujours dans ma bouche. L’homme fit ainsi, brutalement, plusieurs allers-retours dans mon boyau, avant de pousser un râle de jouissance et déverser tout le sperme qu’il avait ...
    ... emmagasiné.
    
    « Quand il se retira, Salah releva ma tête et sortit son sexe de ma bouche. Il n’avait pas joui, mais semblait quand même heureux. Heureux de m’avoir offerte à un autre homme ! Le wali m’encula encore une fois avant de s’endormir. Il semblait n’aimer que cela : la sodomie. Nous dormîmes à trois dans le lit. Au petit matin, je sentis encore l’homme qui cherchait mon cul pour y prendre encore une fois son plaisir. Je le laissais faire, sachant que Salah m’aurait ordonné de me laisser faire. Le wali partit très tôt le matin, avant que Salah et moi, nous nous levâmes. A ma grande surprise, je trouvai sur la table de nuit, une liasse de billet de mille dinars. Je demandais à Salah de m’expliquer la présence de l’argent.
    
    - Ne me dis pas que tu n’as pas compris qu’il t’a prise pour une pute que j’entretiens et que je fais travailler pour mon compte !
    
    - ….
    
    « J’étais furieuse et lui sautais dessus pour le frapper. Pour la première (et dernière fois) je l’entendis rire à gorge déployée, pendant que je le rouais de coups. Il était comme un gosse, heureux de sa blague. Il m’attrapa, me fit rouler sur le lit, et pour la première (et dernière) fois, me fit l’amour normalement et tendrement. Nous avions joui très fort tous les deux. Ce fut la dernière fois que je le vis. Le matin même, pendant que j’étais de repos pour encore une journée, il partit en opération avec sept collègues. Ils tombèrent dans une embuscade. La voiture qu’il conduisait sauta sur une bombe ...
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