Faouzia, femme flic Deuxième partie : la triste hi
Datte: 30/03/2021,
Catégories:
Humour
Hardcore,
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... étions tout le temps sur la brèche. Les terroristes étaient encore très nombreux et maîtres d’une grande partie du terrain. Ils avaient même le soutien – peut-être forcé – d’une bonne partie de la population. Pendant cette période, nous avions accroché des groupes terroristes plus d’une dizaine de fois. Nous avions eus plusieurs morts et blessés ; mais nous étions arrivés à les chasser de la région et à reprendre une bonne partie du terrain perdu.
« C’était à cette période que j’avais failli être abattue, si ce n’était l’intervention rageuse de Salah, qui vida tout son chargeur sur l’homme qui me tenait en joue. Ce fut cette nuit là que je devins sa maîtresse. Je ne comprends toujours pas pourquoi les choses s’étaient passées comme cela. Peut-être l’émotion d’avoir survécu ; peut-être la reconnaissance envers celui qui m’avait sauvé la vie ; peut-être de l’admiration pour un chef véritablement exceptionnel ; peut-être un amour caché envers lui. En rentrant le soir à la brigade, Salah m’ordonna de ne pas descendre du véhicule qui nous transportait et d’attendre son retour; j’étais encore toute engourdie après les évènements de la journée.
« Il revint dix minutes plus tard ; pris le volant et démarra en trombe pour une destination que lui seul semblait connaître. Je ne disais rien ; je ne me posais même pas de questions ; il ordonnait, j’obéissais. C’était comme cela que les choses devaient se passer, devais-je penser ; si j’étais encore capable de penser ! Le véhicule ...
... pénétra dans une cité/résidence de la police nationale, qui se trouvait à environ deux kilomètres de la brigade. Il gara la voiture dans le parking d’un bâtiment, descendit et m’ordonna, d’un geste impératif, de le suivre. Nous pénétrâmes dans le bâtiment, montâmes une série de volées d’escaliers et nous nous arrêtâmes devant un appartement du deuxième étage. Il ouvrit la porte, me fit entrer la première, me suivit et referma la porte. Je ne disais toujours rien.
« Je devinais ce qui allait se passer, mais rien en moi ne se révoltait. J’étais forte et capable de me défendre contre n’importe qui ; mais là je n’avais absolument aucune envie de résister ou de me révolter contre quoi que ce soit. Il me prit par la main et m’entraîna vers une chambre où trônait un grand lit. Il ne disait rien ; il tendit la main pour ouvrir le zip de ma salopette et, d’un geste rageur, il l’ouvrit totalement. Il fit descendre l’uniforme, dénudant en même temps mes épaules, mes bras, mes hanches et mes cuisses. Sans la présence des rangers, il me l’aurait enlevé en entier.
« Il ne chercha pas à aller plus loin. Il me retourna pour que lui expose mon dos ; il arracha ma culotte et me força à m’allonger sur le ventre à travers le lit. Je ne le regardais même pas ; j’attendais la suite, presque avec impatience ; j’étais totalement tendue vers ce qui allait se passer et, qu’au fond de moi, je souhaitais ardemment. Je le sentis qui abaissait sa salopette pour sortir son membre. Je ne voyais rien ; ...