1. Faouzia, femme flic Deuxième partie : la triste hi


    Datte: 30/03/2021, Catégories: Humour Hardcore, Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... pour mon membre qui était au paradis! Je me mis à la pénétrer en force en faisant faire à mon sexe le long trajet qui allait de l’entrée de la chatte jusqu’au plus profond du vagin. J’avais même l’impression qu’il rencontrait un obstacle tout au fond et qu’il cherchait à le défoncer à chaque pénétration. Je le faisais sortir complètement pour le monter à ma belle qui ne le quittait pas des yeux et le renvoyai en force au fond. Faouzia ne se retenait pas ; elle laissait échapper des cris stridents à chaque pénétration ; en même temps que moi je poussai des han de bûcheron. Elle essayait d’att****r ma taille pour la tirer vers elle. Elle n’y arrivait pas, à cause de la position qu’elle avait prise sur la table de la cuisine. Mais en la voyant lancer ses bras pour agripper ma taille, je comprenais qu’elle voulait que j’y aille encore plus fort et plus vite.
    
    J’accélérai le rythme de mes coups de boutoir et regardait ma belle entrer en elle-même, tout en continuant de pousser ses petits cris stridents. Elle était complètement dans son plaisir. Elle était à l’écoute de sa jouissance, qu’elle sentait arriver avec la force d’un torrent en furie. Je regardai sa tête qui se balançait comme si elle ne pouvait pas la retenir ; je voyais ses yeux se voiler et ses narines palpiter ; je voyais sa bouche qui dégoulinait de salive ; et je voyais ses bras se tendre pour essayer de me saisir au moment où je la pénétrai encore une fois. Elle n’arrivait à m’agripper qu’au moment où j’arrivais ...
    ... au fond de son vagin et que j’allais repartir vers la sortie, prendre un élan et réinvestir le tunnel avec encore plus de force. Elle était obligée de lâcher prise parce qu’elle n’avait pas les bras assez longs pour suivre le trajet de mes hanches.
    
    Je la sentais au bord de l’apoplexie. Je savais qu’elle n’allait pas tarder à exploser. Je voulais, moi aussi, exploser en même temps qu’elle. Et de fait nous eûmes tous les deux, en même temps, un orgasme vraiment exceptionnel qui nous sembla durer une éternité. Il lui fit pousser un puissant râle de jouissance qui semblait venir du plus profond de ses entrailles et décharger une quantité énorme de cyprine que les furieux va-et-vient de mon sexe expulsèrent vers l’extérieur. Il en était de même pour moi, qui en même temps que j’éjaculais un flot continu de sperme chaud et encore épais malgré l’éjaculation précédente, je poussais un véritable râle de mourant, preuve s’il en était de l’intensité de ma jouissance.
    
    Je m’arrêtai, fourbu par l’intense effort, et sortis d’entre les cuisses de ma mie, le sexe encore tout gaillard. Faouzia était encore en elle-même entrain de savourer le moment de bonheur qu’elle venait de passer. Quand elle ouvrit les yeux, elle était encore dans la position impudique de femme offerte à la concupiscence de son amant. Elle me lança un sourire émerveillé et lumineux ; en regardant du côté de mon sexe encore debout, elle me dit, moqueuse :
    
    - Il veut me tuer ? Il n’est pas encore rassasié ?
    
    - Il ...
«1...345...12»