1. Faouzia, femme flic Deuxième partie : la triste hi


    Datte: 30/03/2021, Catégories: Humour Hardcore, Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... bain, elle était superbe ! Elle me tournait le dos, occupée qu’elle était à faire frire deux immenses steaks. Je me plaçai derrière elle et la pris par la taille tout en l’embrassant sur l’arrière du cou. Elle lança sa tête en arrière pour la coller à la mienne et envoya sa croupe vers l’arrière pour rencontrer mon bas ventre. Mon sexe qui s’était endormi quelque temps se remit à gonfler.
    
    - Arrête de m’exciter ! lui dis-je. Sinon je vais te culbuter tout de suite, ici même.
    
    - Attend au moins que les steaks soient prêts ! répondit-elle en riant.
    
    - Non je ne peux pas attendre. Je veux te prendre ! Je veux te faire grimper aux rideaux ! Nous mangerons après !
    
    - Mais je meurs de faim ! répondit-elle moqueuse.
    
    Je savais qu’elle aussi avait envie que je la tire ; que je la fasse jouir une fois encore. Elle avait envie d’être pénétrée; elle ne l’avait pas encore été de toute la soirée. Cela lui manquait. Au diable la bouffe ! J’éteignis le fourneau et retournai Faouzia pour l’embrasser, défaire le ruban de la sortie de bain et la soulever pour la poser sur la table de la cuisine. Je la fis assoir sur le rebord de la table, les pans de la sortie de bains ouverts sur son merveilleux corps nu. Je fis une légère pression sur son épaule pour qu’elle s’allonge sur le dos et mis ma mains entre ses cuisses, sur sa chatte qui brillait déjà de mouille. Elle était aussi excitée que moi ! Je lui caressai un moment les grandes lèvres et fis pénétrer deux doigts à l’intérieur ; ...
    ... uniquement pour m’assurer qu’elle mouillait assez pour que je n’aie pas besoin de la caresser longtemps pour lubrifier le conduit.
    
    J’étais pressé de la pénétrer ; de la posséder ; de lui faire sentir l’intensité du désir qui m’étreignait ; et aussi de lui faire connaître la force de mon engin et sa capacité à la faire jouir et à lui faire atteindre le nirvana des amants. Je le sortis du pantalon du pyjama ; il était énorme. Faouzia le regardait avec des yeux brillant de gourmandise et de désir. Elle salivait déjà rien qu’à l’idée qu’il allait l’empaler et occuper tout son tunnel.
    
    - Viens ! Baise-moi ! Enfonce-le moi dans le con ! Je l’aime ! Il est grand, il est fort ! Il est mon maître ! Il est le maître de ma chatte ! Nique-moi ! Nique-moi ! Nique-moi !
    
    Je fis lever les jambes de ma belle et les lui fis plier de part et d’autre de sa poitrine. Elle était totalement ouverte et offerte ! Je me mis en position entre ses fesses et plaçai le gland tuméfié entre ses grandes lèvres ; d’une forte poussée de mes hanches, je fis pénétrer tout l’engin au fond du tunnel de ma belle. Elle poussa un petit cri de douleur ; je me rappelai que cela faisait des années qu’elle n’avait plus fait l’amour. Je me forçai à y aller en douceur, au moins pendant les premier temps ; le temps d’habituer son vagin à la présence et à la force du membre qui la possédait.
    
    Le vagin était bien mouillé et s’habitua très vite au manche qu’il recevait. Il était chaud, visqueux, étroit et super moulant ...
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