La Gestionnaire (29) - Histoires de Sexe

La Gestionnaire (29)

... baiser. Virginie, bonne joueuse, libère mon sexe et le guide dans Carole. Je les possède toutes les deux. Je glisse d’un sexe à l’autre. Ils s’offrent aussi bien l’in que l’autre. Je ne sais plus dans quel sexe je suis : Carole Virginie, Virginie ou Carole ! Mais je ne suis pas très à l’aise. La position est assez inconfortable. Je me dégage et demande aux deux furies de me sucer. Sans plus d’ordres, les deux jeunes femmes sont à genoux face à mon sexe dressé et luisant de leurs sécrétions. Leurs bouches gourmandes prennent le relais de leurs sexes irrités pour accueillir ma semence chaude. Je ne tarde pas à m’épancher dans leurs bouches ouvertes. Elles se disputent mon sperme. Il nous faut un bon moment pour retrouver nos esprits. C’est à cet instant précis qu’une présence nous alerte. Charlotte est là, debout appuyée au chambranle de la porte.

Elle nous regarde et sait parfaitement ce que nous venons de faire. Elle porte un tee-shirt qui s’arrête juste en dessous de son sexe. Elle a peut-être assisté à nos ébats.

— Je vois que l’on ne s’ennuie pas quand je dors toute seule dans mon lit...

Je me libère des deux minettes qui, à la vue de mon esclave et surtout de ma maîtresse attitrée, se sont écartées de moi.

— Charlotte, enfin tu reviens à la vie ...

Elle me coupe la parole, mécontente de me voir en si bonne compagnie.

— Tu ne m’as pas beaucoup veillée ! méchant Maître que tu es...

Carole intervient :

— Charlotte, ne le grondez pas ! C’est lui qui à ...

... tout fait depuis son retour pour vous tirer des griffes de FX.

— Mais en attendant, il vous tire et moi je reste sur le pas de la porte !

Virginie se lève et avance vers Charlotte. Elle lui tend la main. Charlotte titube. Sa démarche n’est pas très assurée.

— Venez rependre votre place, Charlotte ! Nous n’avons pas l’intention, ni l’une ni l’autre de prendre la place qui est la vôtre ! dans son cœur, vous êtes toujours la première...

Elle guide Charlotte jusqu’à nous. Charlotte se place face à moi. Elle écarte ses pieds et avance vers moi. Elle s’assoit sur mes genoux. Sa chatte nue rencontre mon sexe qui pend entre mes cuisses. Mais le contact est fatal. Ma bite reconnaît-elle la douceur de la peau du pubis épilé de Charlotte ? Toujours est-il qu’il reprend vie rapidement et en se redressant, il claque le sexe béant de mon esclave. Elle plante ses yeux dans les miens et m’adresse la parole :

— Ta queue est moins volage que toi... Elle reconnaît mon abricot...

Puis elle pose ses lèvres sur ma bouche. Sa langue pointe entre mes lèvres et force le barrage de mes dents. Le rempart cède rapidement. Nous nous embrassons fougueusement. Mes mains retrouvent vite la douceur de sa peau et remontent rapidement le fragile vêtement. Ses seins sont toujours aussi arrogants.

— Baise-moi, il y a trop longtemps que ma chatte n’a pas rencontré ta queue !

Je passe une main entre nos deux corps pour me guider vers son antre humide. Mais, à peine ai-je effleuré son sexe, ...