La Gestionnaire (29) - Histoires de Sexe

La Gestionnaire (29)

Les premiers rayons de soleil me réveillent. Je suis allongé sur le canapé du salon. Je me lève sans bruit. La maison est très calme. Sur la pointe des pieds, je m’avance dans le couloir qui mène aux chambres. La première porte est ouverte. Le soleil filtre entre les persiennes. Un ouragan a dû traverser la pièce depuis notre arrivée. Tous les draps sont au sol. Carole est allongée sur le dos, les cuisses largement ouvertes. Son sexe bâille largement. Ses seins pointent vers le plafond. À ses côtés, Virginie est à plat ventre. Ses fesses bombent sur la couche. Elles dorment comme des enfants. Pourtant vu l’état du lit, la partie a dû être mouvementée. Je n’ai pourtant rien entendu. Le décalage horaire doit y être pour beaucoup. Après avoir tiré la porte pour conserver leur pudeur, quoique je ne sois pas sûr de celle-ci, je continue jusqu’au fond du couloir. La porte est entrebâillée. Je glisse un œil. Charlotte est allongée sur le côté. Je pousse la porte et passe dans la pénombre de la pièce.

Elle est là, sur le drap. Elle dort paisiblement. Difficile de croire lorsqu’elle est ainsi qu’elle s’est conduite comme la dernière est putain la nuit dernière... Je m’assois sur le tapis à côté du lit. Je la regarde. Elle est toujours aussi belle. Je reste immobile. Un frôlement derrière moi me signale la présence d’une personne. Je me retourne. Carole est là entièrement nue. Elle pose son index sur ses lèvres en signe de silence. Elle pose sur mes épaules un peignoir et me ...

... chuchote à l’oreille :

— J’ai peur que mon Maître préféré ne prenne froid !!!

— Merci ma petite esclave !

Elle est à côté de moi et ma main s’aventure le long de sa cuisse. Elle facilite la montée en écartant les pieds. Puis elle stoppe l’ascension.

— Je ne suis pas propre ! Virginie m’a fait subir plein de choses cette nuit !!

— Cochonne, va te laver !

Elle me dépose un baiser sur les lèvres. En effet elle sent la femelle... Elle s’en va en tortillant du cul. Arrivée à la porte, elle se retourne pour être sûre de son effet sur ma libido. Mon sexe est droit contre mon ventre. Elle dépose un baiser sur ses doigts et le souffle vers moi. Elle articule sans un son :

— C’est pour lui, pas pour toi !

Elle s’éclipse dans le couloir. Les bruits de la douche me parviennent étouffés par les cloisons. Puis des tintements parviennent de la cuisine. Les odeurs de café et de thé mélangés envahissent les pièces. Est-ce ceci qui fait ouvrir les yeux de Charlotte ? Elle est dans le potage le plus complet. On dirait qu’elle a pris la plus grande cuite de sa vie ! Elle s’adresse à moi avec une langue pâteuse :

— Excusez-moi mon Maître adoré, je devrais être à vos genoux...

Elle tente de se lever. Mais elle tombe du lit. La drogue fait toujours effet. Elle repose sur les coudes et le reste de son corps est toujours sur le lit. Elle n’hésite pas et embouche immédiatement mon gland et m’administre une fellation comme elle sait si bien les faire. Je l’empêche de continuer ...