La Gestionnaire (29) - Histoires de Sexe

La Gestionnaire (29)

... :

— Arrête-toi !

— Tu ne veux plus que je te suce ? Tu ne me veux plus comme esclave ?

— Je veux que tu te reposes et que ton corps élimine la saloperie qu’ils t’ont fait ingurgiter !

Je la repousse dans le lit et la borde.

— Dors !

Je reviens dans le salon. Les deux donzelles ont préparé le petit-déjeuner. Elles ne sont vêtues que de leur pudeur, et comme elles n’en ont aucune, elles vaquent dans le plus simple appareil. Je m’installe sur le banc auprès de la table de ferme qui trône dans le coin repas. Carole me sert un thé et en même temps me dépose un bisou dans le cou tout en m’informant :

— Je suis toute propre !!!

Virginie ne veut pas rester sur la touche et ne dit :

— Moi aussi, je sors de la douche !

Tout en enjambant le banc, elle me dévoile son intimité, tout aussi nue que celle de Carole. Je suis cerné, d’un côté Carole qui se pelotonne de l’autre Virginie qui se frotte comme une chatte en chaleur. La première m’offre sa bouche, la seconde absorbe mon sexe comme si sa vie en dépendait. Carole me demande de la prendre en premier. Je l’invite à s’asseoir sur mes genoux. Elle m’enjambe et d’un seul coup s’empale sur ma bite tendue. Elle se tord sous mes coups de boutoir. Elle m’invective.

— Prends-moi plus fort encore.

Virginie est fascinée par le spectacle. Elle regarde Carole, d’habitude si réservée se transformer en une péripatéticienne patentée. Carole a enroulé ses jambes autour de ma taille. Par une pression de ses cuisses ...

... sur l’assise du banc, elle monte et descend sur mon sexe. Je lui caresse les fesses, au niveau de ses fossettes. Elle roucoule. Je sais qu’elle adore que mes doigts parcourent cette région. Virginie est à côté. Elle me tourne la tête vers elle pour me prendre les lèvres. Je laisse une fesse de Carole pour m’aventurer sur les cuisses offertes de Virginie. Dès que ma main se pose sur sa peau, ses deux cuisses satinées s’ouvrent, m’offrant une voie dégagée sur son sexe. Je place une main sur sa petite chatte et entreprends une sarabande avec mes doigts. Carole nous regarde. Elle sourit. Virginie vient elle aussi sur mes genoux. Elle vient dans le dos de Carole. Elle place ses mains sur la taille de Carole. Sans ménagement et avec une force insoupçonnée, elle la lève et la relâche à plusieurs reprises.

Carole est étonnée de cette manière peu cavalière et rare de la part d’une femme. Virginie passe la tête par-dessus l’épaule de sa compagne et m’embrasse. D’une main j’empaume un sein de Carole de l’autre un de Virginie. Si leurs peaux divergent par leurs textures, la fermeté est identique. Je soulève Carole plus haut. Mon sexe se libère d’une prison humide, mais retrouve aussitôt le lieu accueillant... Carole proteste :

— Salaud et toi derrière espèce de petite pute, rend moi la bite d’Jérôme !

Virginie dans le mouvement ample a profité de ma sortie inopinée pour changer la direction de mon sexe et s’est effilée ma queue dans le ventre... J’embrasse Carole. Elle me rend mon ...