La Gestionnaire (29) - Histoires de Sexe

La Gestionnaire (29)

... qu’une grimace déforme son visage.

— J’ai mal ! Je suis sèche comme un coup de trique ! Mon sexe est tout endolori... je ne vais pas pouvoir te prendre dans mon ventre ni dans mon cul ! !

Des larmes coulent sur ses joues. Les deux miss comprennent la situation. Elles s’éclipsent et préparent un petit-déjeuner sur un plateau. Elles l’apportent sur la terrasse, à l’ombre du tendelet. Je prends Charlotte dans mes bras et la porte dans un fauteuil du salon.

— Tout d’abord, tu vas te restaurer. Ensuite, si tu le désires, nous parlerons de cette année. Demain, je te conduirais chez ton gynécologue pour un examen approfondi. Si tu le veux après nous partirons en vacances... Que penses-tu de cet emploi du temps ?

— Oui, je veux bien, tout ce que tu veux, je suis ton esclave, tu le sais bien !

— Nous allons faire du ravitaillement pour le week-end au supermarché du coin et nous nous préparons une journée mémorable...

— À tout à l’heure...

— Au retour du supermarché, c’est le silence qui nous accueille. Virginie et Carole se dirigent vers la piscine. En un tour de main, leurs vêtements gisent au sol et se sont deux naïades qui plongent dans l’eau bleue.

Je me dirige vers la chambre. Je pousse doucement la porte. Charlotte, la tête enfouie dans l’oreiller, un sourire sur les lèvres, me regarde. Je m’installe sur le bord du lit. Charlotte est allongée sur le ventre. Le drap couvre son corps et moule ses belles fesses fermes bien rebondies. De la main, je tire ...

... sur le drap et découvre son corps. Son dos est nu et ses cheveux inondent d’or les draps sombres. Je me délecte de son corps. Mes yeux parcourent son corps à moitié dévêtu. Elle me regarde et me sourit. Elle me susurre un bonjour. Elle se retourne et s’étire. Sa poitrine orgueilleuse aux seins épanouis attire mon regard. Mes yeux ne perdent pas une miette du spectacle que m’offre Charlotte. Elle repousse le drap. Elle se fait chatte pour me tenter et m’aguicher avec ses appâts. Mes yeux descendent plus bas pour admirer son ventre plat, ses hanches épanouies et son pubis bombé et glabre, à peine dévoilé par ses cuisses rondes et soyeuses. L’immense glace des armoires me renvoie l’image du cul somptueux de Charlotte.

Elle se met à genoux et me jette un regard plein d’envie. Mon sexe réagit immédiatement et une érection instantanée déforme mon pantalon. Charlotte m’enjambe et s’installe sur mes genoux. Elle enroule ses bras autour de mon cou, et m’embrasse de sa bouche délicieuse aux lèvres charnues. Elle tient ma tête entre ses mains. Elle me couvre de baisers avides.

— J’ai besoin de me rattraper...

Mes mains glissent sur son dos et ma queue durcit de plus en plus. Elle me murmure :

— On dirait que tu as envie de moi... C’est bon de se sentir désirer... je t’ai manqué ?

Ma main glisse entre ses cuisses, à la recherche de son sexe épilé. Les lèvres épaisses sont grasses et souples. En haut, le clitoris proéminent darde fièrement. Son liquide coule et poisse mes ...