Faouzia, femme flic Première partie : ma rencontre
Datte: 27/03/2021,
Catégories:
Humour
Hardcore,
Anal
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... tendresse. Nous restâmes ainsi un long moment, serrés l’un contre l’autre, sans rien dire. D’habitude quand j’emmenais une femme chez moi, j’étais plus entreprenant et plus direct: je l’emmenai directement dans la chambre pour la culbuter et prendre mon plaisir. Mais avec elle, les choses semblaient prendre une autre tournure : la belle Faouzia que je pensais être une femme forte - à l’image de Demi Moore dans le film - s’avérait avoir plus besoin de tendresse que de sexe. Faisant contre mauvaise fortune, bon cœur, je me mis à lui caresser la nuque en serrant encore plus fort son corps chaud et ferme contre le mien. Elle se laissa faire, en ronronnant comme un chaton heureux.
J’éloignai son visage du mien et me mis à l’embrasser tendrement: sur une joue, puis sur l’autre ; sur les yeux ; sur le front ; sur les lèvres ; sur le cou. Elle se laissait faire avec un merveilleux sourire sur la bouche, mais sans prononcer un seul mot. Je voyais dans ses yeux briller une petite lueur de bonheur, comme si elle ne s’attendait pas à ma démonstration de tendresse. Elle s’était certainement attendue à ce que je l’entreprenne immédiatement. J’étais maintenant certain que si j’avais agi ainsi, je l’aurais déçu au plus haut point. Elle repoussa doucement mon visage pour me regarder dans les yeux. Elle me fit un sourire lumineux et dit :
- Je m’attendais à ce que tu m’amènes directement au lit !
- Tu es déçue ?
- Au contraire ! Je trouve que tu agis en gentleman ! Tu ne te ...
... comporte pas avec moi comme si je n’étais qu’un corps. Je sais que tu me trouves belle et désirable ; je sais que tu veux coucher avec moi ; que tu veux me tirer comme une pute ; mais tu te retiens, pour ne pas me décevoir. J’ai raison, n’est-ce pas ?
- Tu as tout faux ma belle ! dis-je en ne plaisantant qu’à moitié. En vérité je ne pense qu’à ça ! Te faire l’amour et te faire grimper aux rideaux ! Et y grimper avec toi ! Si je me retiens c’est que j’ai senti que tu étais un peu triste, comme si quelque chose de triste, peut-être un souvenir douloureux, bloquait ton envie de plaisir et t’empêchait de te lâcher. J’ai raison, n’est-ce pas ?
Elle ne répondit pas. Elle se contentait de se serrer encore plus contre moi, collant sa poitrine et son ventre contre les miens. Elle avait posé sa tête au creux de mon épaule droite et resta ainsi un très long moment. Je craignais même qu’elle se mette à pleurer à chaudes larmes. J’avais l’intuition qu’elle était sur le point de fondre en larmes et qu’elle faisait de grands efforts pour ne pas pleurer. Je continuais à lui caresser doucement la nuque, attendant patiemment que la période de forte émotion qu’elle semblait traverser, s’estompe. Je me dis qu’il serait bien temps plus tard qu’elle m’expliquât ce qu’elle ressentait, et ce qui lui donnait tant de tristesse. Et puis, brusquement, elle releva la tête, me regarda droit dans les yeux, me fit un merveilleux sourire et tendit ses lèvres pour que je les embrasse.
Je posai mes lèvres ...