1. Faouzia, femme flic Première partie : ma rencontre


    Datte: 27/03/2021, Catégories: Humour Hardcore, Anal Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... pour qu’il vous attende. Vous n’aurez rien d’autre à faire, mais pour nous ce sera un grand service, qui nous évitera quelques problèmes de sanctions disciplinaires et administratives.
    
    - D’accord ! Mais expliquez-moi pourquoi, vous m’avez choisi moi, plutôt qu’un membre de l’équipage. Il me semble que c’est ce qui se fait généralement.
    
    - L’équipage de l’appareil qui assurera le vol ne quittera probablement pas l’appareil. Il repartira immédiatement après avoir fait le plein. Et puis, il s’agit d’un équipage étranger. Nous avons vérifié. Nous avons étudié votre fiche de police. Vous semblez présenter toutes les garanties de sérieux : vous êtes un homme mûr, entrepreneur et voyageant souvent entre Oran et Alger. Nous avons confiance en vous. C’est d’accord ?
    
    - Oui !
    
    Elle me remit l’enveloppe, me demanda mon numéro de portable, me donna le sien, pour que je l’appelle immédiatement après avoir remis l’enveloppe et repartit vers les bureaux de la police. J’admirai sa démarche dynamique (de militaire !) et le léger balancement de ses hanches. Je me fis la réflexion que j’aimerai bien caresser ce superbe cul qui s’éloignait.
    
    L’attente dura longtemps. De temps en temps, la policière venait jeter un œil à la salle d’embarquement et m’envoyait par la même occasion un sourire superbe et lumineux ! Je le lui rendais son sourire et priait en silence pour qu’elle vienne me tenir compagnie en attendant l’heure du départ. Evidemment elle n’entendit pas la prière. Mais comme ...
    ... l’attente se prolongeait, elle vint me proposer de prendre un rafraîchissement dans son bureau. J’acceptai avec empressement. La femme m’intéressait beaucoup. Je voulais mieux la connaître.
    
    Je la suivis dans son bureau, appréciant au passage le balancement discret de ses hanches, larges et rondes (et certainement fermes et douces, me dis-je en moi-même). Je passai environ une heure avec elle à discuter de choses et d’autres, avant que le haut parleur de la salle d’embarquement n’annonce le décollage imminent de l’avion. Au cours de cette période, j’appris qu’elle s’appelait Faouzia ; qu’elle avait trente ans ; qu’elle était originaire de Kabylie ; et qu’elle habitait dans un « célibatorium » (affreux néologisme signifiant une résidence réservée aux policiers célibataires; hommes et femmes séparés, bien entendu).
    
    Je ne pus m’empêcher de lui faire des compliments sur sa beauté et de m’interroger sur son choix du métier de policier. Elle me répondit qu’après son bac, venant d’une famille modeste des montagnes de Kabylie, elle avait trouvé intéressant de répondre à une annonce de la Direction Générale de la Sureté Nationale qui proposait une formation d’inspecteurs (et inspectrices) de police sur une durée de deux années, en prenant tout en charge et en assurant un présalaire conséquent. Avec le chômage devenu endémique, elle avait sauté sur l’occasion. Elle avait été prise immédiatement, car elle avait et le profil physique et le niveau de base requis. Très vite elle s’était ...
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