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Faouzia, femme flic Première partie : ma rencontre
Datte: 27/03/2021, Catégories: Humour Hardcore, Anal Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... sur les siennes avec l’intention du lui donner un baiser plein de douceur et de tendresse. Mais je compris bien vite que ce n’était pas ce qu’elle voulait. Elle venait de décider de chasser les idées noires qui lui traversaient l’esprit en donnant à son corps et à son âme le bonheur d’une relation sexuelle torride et sans tabous. Elle ne voulait donc pas d’un baiser doux et tendre ; celui-là ce sera pour plus tard, quand son corps et son âme seront apaisés. Elle voulait un baiser passionné, torride et mouillé. Nos bouches se rencontrèrent et se mirent à faire l’amour. Il est en effet des baisers qui sont à eux seuls des actes sexuels qui se suffiMonique, maintenant que voussent à eux-mêmes ; qui donnent autant de plaisir qu’une pénétration. Et celui que me donna Faouzia, faisait partie de cette catégorie de baisers. Elle colla, telles des ventouses enveloppantes et envahissante, ses magnifiques lèvres sur les miennes et m’entraîna dans un monde merveilleux dans lequel sa bouche et sa langue agissaient en maîtres. Elle avait une langue rose, ferme, fine et agile qui pénétrait dans ma bouche à la recherche de ma langue pour jouer avec elle et aussi pour fourrager à l’intérieur de ma cavité buccale et en devenir la maîtresse. Elle ramassait toute la salive qu’elle pouvait et l’avalait goulûment. De temps en temps elle faisait retournait dans sa propre bouche pour m’offrir sa salive qu’elle m’envoyait en faisant jouer ses joues et sa langue et que j’avalais avec autant de ...
... plaisir qu’elle prenait en buvant la mienne. J’étais - nous étions - au bord de l’asphyxie et heureux de l’être. J’étais aussi excité qu’un bouc et sentait mon sexe, gonflé à bloc, palpiter d’impatience. Je faisais connaître à ma partenaire l’intensité de mon excitation en frottant le devant de mon pantalon sur son bas-ventre. Elle me rendait la pareille en bougeant ses hanches entraînant ainsi son ventre dans une espèce de danse lascive contre l’immense bosse que faisait l’avant de mon pantalon. J’avais du mal à me retenir. J’avais envie d’ouvrir immédiatement le zip qui fermait la combinaison qu’elle portait et de la lui enlever pour qu’elle reste toute nue et offerte. Je me retenais pourtant, tout en continuant le baiser torride et mouillé qui nous entraînait au sommet du désir. Nous ne nous arrêtâmes que par manque d’oxygène, au moment où elle et moi sentîmes que nous allions étouffer. Elle éloigna légèrement sa tête de la mienne, ouvrit les yeux qu’elle avait gardés fermés tout au long du baiser, et m’envoya un superbe sourire de contentement. - Allons dans la chambre ! dit-elle. Je veux que tu me fasses l’amour tout de suite ! Nous mangerons après ! Je venais de me rendre compte que nous étions encore dans la cuisine, où nous avions déposé les emplettes. Je la repoussai avec douceur pour l’éloigner de mes bras, la pris par la main et l’entraînai vers la chambre qui se trouvait à l’autre bout du couloir. Elle me suivit tout en observant - curiosité bien féminine - ...