Les trois sorcières
Datte: 26/03/2021,
Catégories:
A dormir debout,
Auteur: Jpj, Source: Hds
... intimes. La caresse a eu tôt fait d’effacer ma timidité. Et j’avais la banane dans les bras de cette sorcière et de ses gestes magiques.
La fille avait sa bouche à mon cou à mon oreille. Elle a murmuré, va laisse aller et décharge. C’est bon de bon la gicle des garçons au col des filles. Elle a ajouté de toutes façons il ne sert à rien de te garder des réserves pour ces deux donzelles. D’abord elles se contentent entre elles et n’ont nul besoin de toi, ensuite sache qu’elles sont mineures et que tu n’as pas le droit.
Moi je pensais, cette grande fille veut me garder pour elle toute seule. Elle est égocentrique et me monte un scénario. Je n’étais pas mécontent, surtout que son grand doigt avait trouvé dans mon fondement le lieu de mes félicités. J’étais bien, décontracté, et je poussais pour rejoindre mon nirvâna et le bien être qu’elle m’offrait.
Néanmoins je pensais aux deux petites qui tout contre moi chaudes et humides de la douche se bécotaient ardemment en roucoulant comme colombes en pigeonnier.
Je pensais, sournois, si je contente cette grande convenablement, elle entrera en léthargie post-coïtale et je pourrai alors, discrètement, tirer les gamines. Mineures ou pas mineures, elles m’ont l’air toutes deux parfaitement opérationnelles avec belles fesses, profonde craque et gros nibars 95C. Authentiques bimbettes.
En sus, je n’aurai pas peine à me taper longs préliminaires vu qu’actuellement elles se chauffent mutuellement, tout en tendresse de filles y ...
... caresses délicates de leur zizette plissée et doigt mouillé.
L’ambiance était chaude dans le plumard mais aussi en extérieur. L’orage, i piaggio, se déchaînait dehors et nous quatre, ces trois brunes rescapées et moi on était bien au chaud dans mon grand lit.
La vie m’était belle...
Les deux petites ne parlaient pas et je ne savais rien de leurs pensées. En revanche elles gazouillaient ardemment et je pensais la musique de leurs soupirs est vrai enchantement. Je ressentais cela comme sortilège de sirènes autour du bateau d’Ulysse et me sentais emporté vers des ailleurs vers un abysse.
La grande me tenait serré dans ses bras, son ventre en avant cambré contre le mien et ses fluidités en contractions régulières qui aspiraient ma tige au plus profond d’elle. Elle souriait et me dit en murmure à l’oreille, viens croque la pomme Apple Eve Schneewitchen, sois cette image d’iMac, d’iPad, d’iPhone.
Décharge en moi ta vitalité par la lightning.
Je sentais le maléfice.
En sus l’odeur montait à mes narines. Une odeur démoniaque. Une odeur de sexe, d’aisselles, le signal que ma partenaire allait prendre son pied et réclamait en synchronie mon aboutissement et les grandes lampées de sperme à noyer son col.
Elle chantait son plaisir en psalmodiant.
Les deux voisines avaient interrompu leurs activités personnelles et restaient immobiles, attentives, curieuses d’assister à l’épanouissement final.
Lors qu’enfin je karchérisai abondamment son fond de cougourle j’ai ...