Les trois sorcières - Histoires de Sexe

Les trois sorcières

... senti qu’elle tirait sur mes fesses à deux mains pour plus encore m’emmancher au cœur d’elle.

Moi je regrettais la visite interrompue de son grand doigt à mes entrailles.

Ses cuisses étaient monté haut et son velu se mêlait au mien comme Velcro.

Ses intérieurs étaient musclés et elle triturait ma tige comme fermière le pis de la vache.

Soudain j’ai senti qu’on empaumait mes couilles. A deux mains qui plus est. Vu que j’avais encore des ongles plantés dans mes fesses, j’ai compris que l’une des petites avait décidé de participer. Et elle serrait, serrait...

Ma nuit démarrait bien.

Dans le lit le silence s’était établi. Les petites ne roucoulaient plus, d’ailleurs l’une d’entre-elles était occupée à visiter mes roupes, se désintéressant probablement de sa copine. Quant à ma partenaire, elle était dans son nirvâna et ses chants s’étaient atténués puis éteints.

Dehors l’orage grondait comme jamais et bien que nous fussions en ville on entendait des craquements funèbres d’arbres qui tombaient tels le chêne de la fable

Celui de qui la tête au ciel était voisine
Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts

Moi, je me sentais vidé, totalement. Les dernières pulsations orgasmiques de la grande serraient en tendresse ma tige amollie et je ressentais grand apaisement.

Sauf que, diable, les mains hardies d’une petite s’affairaient sur mon paquet, manifestement déterminées à me faire recouvrer rapidement allure chrétienne.

J’ai roulé pour ...

... m’échapper du havre chaud et gluant. Les jambes de ma grande amie sont descendues au drap et elle est restée allongée au bord du lit en gisante épanouie.

L’autre sorcière m’a escaladé. J’ai senti sur moi son poids de fillette à la poitrine hypertrophiée. Elle est redescendue de l’autre côté et je me suis retrouvé encadré de deux minettes, de ces deux gamines à la libido exacerbée.

Durant toute l’affaire elle n’avait pas lâché mon scrotum qu’elle serrait comme trophée.

Je n’étais pas mécontent.

D’autant que la troisième s’est immédiatement emparé de ma tige comme pour dire voilà ce qui importe. La bête était encore en latence mais déjà moins réfractaire du fait des fragrances juvéniles et fraîches des deux donzelles.

Lors que la première visitait d’un doigt léger mon périnée, s’aventurant entre mes fesses jusqu’au delà du correct, la seconde avait décapuchoné l’animal et glissait un doigt caressant sur le haut du gland et le méat béant tout trempé des ébats précédents.

J’étais tout content.

D’autant que je me souvenais de la mise en garde de la grande sorcière qui me disait gare, ces deux gamines prépubères sont mineures et tu encours lourd opprobre si tu les sautes.

Mais les fillettes en question me paraissaient très au fait des choses du sexe avec leurs hanches larges, leur taille fine et surtout les incroyables nichons qu’elles arboraient par devant. Je n’avais aucune réticence. Et preuve de mes dires, ma bite avait repris pleine expansion saine et solide. ...