1. Les trois sorcières


    Datte: 26/03/2021, Catégories: A dormir debout, Auteur: Jpj, Source: Hds

    ... présentait ses fesses. Belles fesses bien gonflées chaudes avec craque profonde humide de la douche et pilosité crépue douce sous les charnus de mes doigts.
    
    L’autre était inaccessible. Je pensais, elle ne perd rien pour attendre.
    
    Mais j’étais dans les bras de la grande qui faisait cuiller autour de moi. Son pubis velu à mes fesses, ses bras qui m’enserraient, sa bouche dans mon cou en multiples petits bisoux.
    
    Moi, je pensais, baiser une fille en habit dans un lit, c’est comme manger une orange avec la peau. Ce teeshirt Porsche, si elle le garde, elle n’aura pas ce qu’elle attend depuis belle lurette, à savoir un bon coup de bite d’homme dans le ventre.
    
    Je n’ai rien dit mais me suis retourné pour la prendre dans mes bras et la serrer fort contre moi. Le teeshirt bavarois était remonté sous ses aisselles. Elle a levé les bras et a dit, va ôte le. J’ai pensé, Porsche finalement, une fois encore, n’aura pas fait long feu. Abandon au premier virage, direct le bac à sable.
    
    On était donc, la grande parpaillote et moi d’un côté embrassés et les deux brunettes emmêlées de l’autre.
    
    Dehors l’orage continuait de tonner et la pluie tombait en grandes cataractes.
    
    La grande m’a dit, heureusement que tu nous as hébergées, imagine qu’on soit encore dehors toutes trois là avec nos balais dans la tourmente.
    
    Moi je pensais, c’est quoi ces balais dont elle me cause. J’ai dû mal entendre.
    
    Elle a ajouté à mon trouble en disant, sous la pluie les turbopropulseurs ...
    ... cafouillent.
    
    La fille avait pris ma bite en main et pompait avec douceur.
    
    Moi, en réciprocité, je triturais ardemment ses beaux nibars denses et élastiques.
    
    Manifestement on était en concordance et sa main a mené mon organe à son papillon tout palpitant mouillé visqueux de désirade.
    
    On était face à face, elle cuisses hautes et moi le nez dans son cou à respirer ses fragrances. Ses mains à mes fesses tiraient à elle, ongles crochés. Mon long bitos appuyait son gland au fond d’elle aux duretés de son col. Et s’interrogeait.
    
    Moi, un peu traître, j’avais en tête les deux autres filles que j’imaginais toute tendres toute trempées d’amour en attente et je pensais, si je donne à celle-ci tout ce que j’ai à donner, que restera-t-il pour celles-là pour ces deux gamines brunes ?
    
    Et ma tendresse pour ces deux petites était confortée par les beaux poumons que toutes deux arboraient. C’étaient, l’une et l’autre, des filles à forte poitrine.
    
    La grande dans mes bras a ressenti ma réticence. Je ne crois pas qu’elle en ait compris la motivation. Mais cette affaire du garçon en retenue ne lui seyait pas, alors elle a mouillé de gros glaviot les trois doigts de sa main droite et m’en a badigeonné le cul. C’était chaud c’était frais et mon anus en fut tout attendri.
    
    Son grand doigt a suivi, profitant d’un instant d’inadvertance, et s’est enfilé profond bien au delà de la porte étroite.
    
    Le charnu pressait en avant côté pubis sur la boule prostatique de mes émois les plus ...
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